Le secrétaire général du Hezbollah, sayyed Hassan Nasrallah, ne semblait pas, lui-même, convaincu de la solidité des éléments diffusés au cours de sa conférence de presse pour montrer que c'est Israël qui a assassiné Rafic Hariri. Les images, les extraits d'« aveux » d'agents, les informations rassemblées, qu'il a mis à la disposition du gouvernement, sont des indications et non pas des preuves, a-t-il pris soin de préciser en reconnaissant que c'est une « guerre d'opinon publique » qu'il mène.
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