C'était une véritable levée de boucliers hier contre les « intimidations » de Hassan Nasrallah après l'incident d'Ouzaï où des éléments du Hezbollah (parmi eux des militants déguisés en femmes) s'en étaient pris aux enquêteurs onusiens, aussi bien de la part de la communauté internationale (Ban Ki-moon, Antonio Cassese, Daniel Bellemare, Washington...) que de l'Alliance du 14 Mars. « Je refuse que le Liban tombe dans la pensée unique », a notamment asséné Saad Hariri.
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