À ses proches, le Premier ministre désigné, Nagib Mikati, confie que la première mission de son cabinet en puissance, qu'il souhaite de partenariat national, serait de traiter les retombées de l'acte d'accusation du TSL. On présume en effet que sa publication ne saurait tarder, maintenant que le procureur Daniel Bellemare a remis ses conclusions au juge de mise en état, Daniel Fransen. S'adressant aux médias, Mikati confirme que le Liban n'a pas le pouvoir d'abolir un tribunal international créé par le Conseil de sécurité de l'ONU qui peut seul décider de son sort. Le gouvernement, ajoute-t-il, peut cependant traiter les effets des actions du TSL sur le plan local. Pour préserver la coexistence, l'unité des Libanais, la stabilité et le calme. Il s'agit là, souligne l'intéressé, d'un objectif de sauvetage. Un défi qu'il relève, en tendant la main à tous. En vue de cette coopération et de cette participation à la prise de responsabilité, indispensables pour franchir l'étape difficile qui se présente.
Naturellement, le 14 Mars insiste beaucoup sur la question du TSL, de la vérité et de la justice. Il craint que le nouveau gouvernement ne suive la feuille de route du Hezbollah et ne se soumette à ses exigences. Aux loyalistes, Mikati répond qu'il s'en tient aux résolutions prises à l'unanimité par le premier comité de dialogue national, en 2006. Et dont le tout premier article édictait la reconnaissance, pour ne pas dire le sacre, du TSL, aux fins de parvenir à identifier les coupables, exécutants et commanditaires, de l'assassinat du président Rafic Hariri et de ses compagnons de destin. Le Premier ministre désigné répète, dès lors, qu'il n'est pas possible de passer outre à des résolutions adoptées par un comité national représentant toutes les composantes du pays politique. Partant de là, il rappelle que toute modification de cette référence nécessite une unanimité nationale. Ainsi que, à son avis, une solide couverture arabe. Il conclut sur ce thème en réaffirmant qu'en tout cas ni lui ni son gouvernement à venir ne pourraient prendre une telle décision, entendre de s'en prendre au TSL, question qui, selon lui, relève du comité de dialogue national dirigé par le chef de l'État
Naturellement, le 14 Mars insiste beaucoup sur la question du TSL, de la vérité et de la justice. Il craint que le nouveau gouvernement ne suive la feuille de route du Hezbollah et ne se soumette à ses exigences. Aux loyalistes, Mikati répond qu'il s'en tient aux résolutions prises à l'unanimité par le premier comité de dialogue national, en 2006. Et dont le tout premier article édictait la reconnaissance, pour ne pas dire le sacre, du TSL, aux fins de parvenir à identifier les coupables, exécutants et commanditaires, de l'assassinat du président Rafic Hariri et de ses compagnons de destin. Le Premier ministre désigné répète, dès lors, qu'il n'est pas possible de passer outre à des résolutions adoptées par un comité national représentant toutes les composantes du pays politique. Partant de là, il rappelle que toute modification de cette référence nécessite une unanimité nationale. Ainsi que, à son avis, une solide couverture arabe. Il conclut sur ce thème en réaffirmant qu'en tout cas ni lui ni son gouvernement à venir ne pourraient prendre une telle décision, entendre de s'en prendre au TSL, question qui, selon lui, relève du comité de dialogue national dirigé par le chef de l'État
No comments:
Post a Comment