Sept Estoniens, tous âgés d’une trentaine d’années, ont été enlevés le 23 mars après être entrés au Liban en provenance de Syrie pour une randonnée à vélo.
L’affaire demeure entourée de mystère. Sept personnes ont été arrêtées au Liban en relation avec cette affaire, mais il n’y a pas de preuve formelle sur le commanditaire de l’enlèvement et le lieu de détention des sept hommes.
Ils ont lancé un appel à l’aide dans deux vidéos diffusées sur Internet les 19 avril et 20 mai.
Selon une source proche du dossier, les enquêteurs se sont rendus compte que la première vidéo provenait de Damas.
Les efforts de l’Estonie pour libérer les otages ont été handicapés par le fait que la petite nation balte d’1,3 million d’habitants a une très faible présence diplomatique au Proche-Orient.
Elle doit se reposer sur l’Union européenne et des alliés de l’OTAN pour un soutien logistique, notamment sur la France.
Le 16 juin, le ministre français des Affaires européennes, Laurent Wauquiez, a déclaré que la France s’est engagée à aider l’Estonie pour obtenir la libération de ses sept touristes enlevés au Liban, mais qu’il fallait de la patience.
Le ministre estonien des Affaires étrangères Urmas Paet est attendu aujourd’hui à Beyrouth, où il rencontrera les hauts responsables, dans le cadre des efforts pour obtenir la libération de sept Estoniens enlevés en mars.L’affaire demeure entourée de mystère. Sept personnes ont été arrêtées au Liban en relation avec cette affaire, mais il n’y a pas de preuve formelle sur le commanditaire de l’enlèvement et le lieu de détention des sept hommes.
Ils ont lancé un appel à l’aide dans deux vidéos diffusées sur Internet les 19 avril et 20 mai.
Selon une source proche du dossier, les enquêteurs se sont rendus compte que la première vidéo provenait de Damas.
Les efforts de l’Estonie pour libérer les otages ont été handicapés par le fait que la petite nation balte d’1,3 million d’habitants a une très faible présence diplomatique au Proche-Orient.
Elle doit se reposer sur l’Union européenne et des alliés de l’OTAN pour un soutien logistique, notamment sur la France.
Le 16 juin, le ministre français des Affaires européennes, Laurent Wauquiez, a déclaré que la France s’est engagée à aider l’Estonie pour obtenir la libération de ses sept touristes enlevés au Liban, mais qu’il fallait de la patience.
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