Le député Jamal Jarrah a affirmé mardi, au terme de sa visite chez le ministre des Travaux publics et des Transports Ghazi Aridi, que "le Tribunal international est le seul lieu pour se défendre".
"Une partie des Libanais prétend oublier que Rafic Hariri est tombé en martyr à sa sortie du Parlement ainsi que les autres martyrs de la Révolution du Cèdre; il est normal que les juristes soient au coeur de ce sujet pour accompagner le travail du Tribunal international", a-t-il dit.
Concernant les démarches au sein du Parlement, M. Jarrah a affirmé qu'une convention "a été conclue entre le Liban et le Tribunal international pour réaliser la justice et les martyrs sont des députés, ministres et chef du gouvernement, il est naturel que le Parlement soit concerné", déplorant l'attitude d'un camp qui "tente d'exercer une pression en disant que le Tribunal est israélien - américain pour se décharger de sa comparution devant lui".
Sur un autre plan, M. Aridi s'est entretenu avec l'ambassadeur irakien Omar Barazanji des relations bilatérales.
Il a également discuté d'affaires de développement de la région du Akkar avec les députés Moîn Merehbi et Riad Rahal.
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