Le Premier ministre désigné Nagib Mikati a refusé que « le pouvoir judiciaire soit la cible de critiques ou de calomnies ». « Nous veillons à ce que le Conseil supérieur de la magistrature se charge de remédier à toute brèche qui pourrait avoir pour origine l’exercice de leur métier par les magistrats », a-t-il poursuivi.
Il a affirmé que le gouvernement « sera aux côtés des juges et œuvrera avec eux pour que la justice demeure garantie, car celle-ci est le principal pilier de la nation et de l’État ».
Ces propos du Premier ministre ont été prononcés au Sérail en présence notamment du ministre de la Justice Chakib Cortbawi et du président du Conseil supérieur de la magistrature par intérim, Saïd Mirza.
« Le but de cette réunion avec les membres du pouvoir judiciaire (...) est de mettre l’accent sur l’indépendance du pouvoir judiciaire au Liban. Celle-ci ne peut être seulement un slogan, c’est une réalité consacrée par la Constitution et le pacte national à Taëf. Cette indépendance s’enracine dans la pratique qui d’ailleurs est de nature à protéger l’État et les institutions. » Et le Premier ministre d’ajouter : « Toute politisation de la justice lui ôte son caractère indépendant et fait de celle-ci une partie prenante sur la scène locale. »
S’adressant enfin au ministre de la Justice, il a assuré que son gouvernement, « dans toutes ses composantes, insiste pour qu’il n’y ait aucun laxisme lorsqu’il est question de rendre justice ».
Il a affirmé que le gouvernement « sera aux côtés des juges et œuvrera avec eux pour que la justice demeure garantie, car celle-ci est le principal pilier de la nation et de l’État ».
Ces propos du Premier ministre ont été prononcés au Sérail en présence notamment du ministre de la Justice Chakib Cortbawi et du président du Conseil supérieur de la magistrature par intérim, Saïd Mirza.
« Le but de cette réunion avec les membres du pouvoir judiciaire (...) est de mettre l’accent sur l’indépendance du pouvoir judiciaire au Liban. Celle-ci ne peut être seulement un slogan, c’est une réalité consacrée par la Constitution et le pacte national à Taëf. Cette indépendance s’enracine dans la pratique qui d’ailleurs est de nature à protéger l’État et les institutions. » Et le Premier ministre d’ajouter : « Toute politisation de la justice lui ôte son caractère indépendant et fait de celle-ci une partie prenante sur la scène locale. »
S’adressant enfin au ministre de la Justice, il a assuré que son gouvernement, « dans toutes ses composantes, insiste pour qu’il n’y ait aucun laxisme lorsqu’il est question de rendre justice ».
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