Nasser Trabulsi
Le ministre du Travail Charbel Nahas a tenu hier une conférence de presse pour présenter les nouvelles mesures prises pour faciliter la procédure administrative relative aux étrangers mariés à des Libanaises et aux enfants nés de mère libanaise et de père étranger. Désormais, des permis de séjour de trois ans leur seront accordés gratuitement. Ces permis ne dépendront pas de la nécessité d’avoir un emploi au Liban pour qu’ils soient accordés. De plus, ces étrangers pourront exercer le métier qu’ils désirent sans aucune condition.
Concernant le permis de travail, désormais, les employeurs d’étrangers mariés à des Libanaises ou d’enfants nés de mère libanaise pourront récupérer la garantie qu’ils déposent auprès des autorités quand ils effectuent les démarches pour l’octroi de ce permis, a-t-il dit, précisant que cette garantie s’élève à un million et demi de livres.
Ces clauses entreront en vigueur une fois que le budget sera approuvé au Parlement, a souligné le ministre du Travail.
Concernant les réfugiés palestiniens, M. Nahas a noté que grâce à la modification de la loi l’année dernière, ils peuvent désormais sous certaines conditions être inscrits à la CNSS. Il faut dans ce cadre, a-t-il dit, plancher sur les lois qui régissent les relations entre l’État libanais et les réfugiés palestiniens.
Concernant le permis de travail, désormais, les employeurs d’étrangers mariés à des Libanaises ou d’enfants nés de mère libanaise pourront récupérer la garantie qu’ils déposent auprès des autorités quand ils effectuent les démarches pour l’octroi de ce permis, a-t-il dit, précisant que cette garantie s’élève à un million et demi de livres.
Ces clauses entreront en vigueur une fois que le budget sera approuvé au Parlement, a souligné le ministre du Travail.
Concernant les réfugiés palestiniens, M. Nahas a noté que grâce à la modification de la loi l’année dernière, ils peuvent désormais sous certaines conditions être inscrits à la CNSS. Il faut dans ce cadre, a-t-il dit, plancher sur les lois qui régissent les relations entre l’État libanais et les réfugiés palestiniens.
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