Gebran Bassil lors de sa conférence de presse : « Heureux mais préoccupé par les nouveaux défis »...Photo Dalati et Nohra
Après le vote de la proposition de loi sur l’électricité hier, le ministre de l’Énergie et des Ressources hydrauliques Gebran Bassil a tenu une conférence de presse au siège du ministère, en présence du directeur général de l’Électricité du Liban, Kamal Hayek et du directeur général de l’exploitation, Ghassan Beydoun.
« Nous sommes sortis de l’illusion dans laquelle ils cherchaient à nous enfoncer, celle de l’impossibilité de financer tout projet de l’État sans passer par les fonds étrangers (arabes) », a déclaré M. Bassil, le visage apaisé par rapport aux conférences précédentes qu’il a tenues durant plus de deux mois pour convaincre l’opinion publique de la pertinence du plan d’urgence pour l’électricité. Le ministre s’est lancé dans une diatribe contre les fonds étrangers, qui seraient à ses yeux l’équivalent économique du Tribunal spécial pour le Liban, que « nous avions mandaté pour notre décision politique ». Ainsi, le financement du projet, qui prévoit un accroissement de l’alimentation jusqu’à 700 mégawatts pour un budget de 1,2 milliard de dollars, sera financé par le gouvernement, qui « a promis d’assurer la somme de 1 772 milliards de livres libanaises (...), une promesse qu’il doit tenir au plus vite parce que le plan d’urgence ne peut aucunement attendre ».
Par ailleurs, « il n’est plus possible pour personne de prétendre qu’il n’a pas connaissance du texte du projet, maintenant qu’il a été approuvé par la loi actuelle et en Conseil des ministres », a-t-il signalé, lançant une pointe aux députés de l’opposition qui alléguaient ne pas avoir à leur disposition le texte du projet proposé. M. Bassil a tenu en outre à assurer que le projet de l’électricité sera entièrement exécuté. Ce vote n’est qu’un « premier pas (...) et le ministère de l’Énergie assurera l’exécution du projet conformément aux règles en vigueur », a affirmé M. Bassil, en soulignant que « l’enjeu est d’établir un changement durable dans le domaine de l’électricité, non un changement qui prendra fin en 2013, après les élections ».
« Nous sommes sortis de l’illusion dans laquelle ils cherchaient à nous enfoncer, celle de l’impossibilité de financer tout projet de l’État sans passer par les fonds étrangers (arabes) », a déclaré M. Bassil, le visage apaisé par rapport aux conférences précédentes qu’il a tenues durant plus de deux mois pour convaincre l’opinion publique de la pertinence du plan d’urgence pour l’électricité. Le ministre s’est lancé dans une diatribe contre les fonds étrangers, qui seraient à ses yeux l’équivalent économique du Tribunal spécial pour le Liban, que « nous avions mandaté pour notre décision politique ». Ainsi, le financement du projet, qui prévoit un accroissement de l’alimentation jusqu’à 700 mégawatts pour un budget de 1,2 milliard de dollars, sera financé par le gouvernement, qui « a promis d’assurer la somme de 1 772 milliards de livres libanaises (...), une promesse qu’il doit tenir au plus vite parce que le plan d’urgence ne peut aucunement attendre ».
Par ailleurs, « il n’est plus possible pour personne de prétendre qu’il n’a pas connaissance du texte du projet, maintenant qu’il a été approuvé par la loi actuelle et en Conseil des ministres », a-t-il signalé, lançant une pointe aux députés de l’opposition qui alléguaient ne pas avoir à leur disposition le texte du projet proposé. M. Bassil a tenu en outre à assurer que le projet de l’électricité sera entièrement exécuté. Ce vote n’est qu’un « premier pas (...) et le ministère de l’Énergie assurera l’exécution du projet conformément aux règles en vigueur », a affirmé M. Bassil, en soulignant que « l’enjeu est d’établir un changement durable dans le domaine de l’électricité, non un changement qui prendra fin en 2013, après les élections ».
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