Le président Sleiman, hier, à l’ONU. Photo Dalati et Nohra
Le chef de l’État Michel Sleiman a prononcé hier l’allocution du Liban au siège de l’ONU à New York. Il y a mis l’accent sur les constantes libanaises, l’attachement à l’initiative de paix arabe, la nécessité d’un règlement équitable du conflit régional, l’importance de la reconnaissance d’un État palestinien et le droit du Liban à exploiter ses richesses naturelles, notamment le gaz et l’or noir enfouis dans sa zone maritime.
Le Liban « soutiendra les efforts » des Palestiniens « visant à obtenir la reconnaissance de l’État de Palestine et son admission comme membre à part entière des Nations unies », a déclaré M. Sleiman dans son discours devant l’Assemblée générale de l’ONU.
Le président a en outre réitéré l’engagement du Liban à l’application des résolutions onusiennes, notamment celle relative au Tribunal international pour le Liban (TSL) chargé d’enquêter sur l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri. M. Sleiman a aussi réaffirmé également l’engagement du Liban à l’application de la résolution 1701 et à la protection des soldats de la Finul. Il a également plaidé pour la poursuite des efforts visant à inciter Israël à se conformer à la 1701 et à cesser ses violations du territoire et de l’espace aérien libanais, précisant que le Liban se réserve toujours le droit de libérer et de récupérer les terrains encore sous occupation israélienne à Chebaa, Kfarchouba et Ghajar « par tous les moyens légitimes ».
M. Sleiman a, par ailleurs, annoncé la reconnaissance par le Liban du Conseil national de transition (CNT) en Libye, exhortant les responsables libyens à élucider le sort de l’imam Moussa Sadr et de ses compagnons disparus lors d’une visite à Tripoli en 1978.
Le président Sleiman a été le huitième à prendre la parole à la tribune de l’Assemblée générale, mercredi, après le Brésil, les États-Unis, le Qatar, le Mexique, la Russie, la France et l’Argentine.
Le Liban « soutiendra les efforts » des Palestiniens « visant à obtenir la reconnaissance de l’État de Palestine et son admission comme membre à part entière des Nations unies », a déclaré M. Sleiman dans son discours devant l’Assemblée générale de l’ONU.
Le président a en outre réitéré l’engagement du Liban à l’application des résolutions onusiennes, notamment celle relative au Tribunal international pour le Liban (TSL) chargé d’enquêter sur l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri. M. Sleiman a aussi réaffirmé également l’engagement du Liban à l’application de la résolution 1701 et à la protection des soldats de la Finul. Il a également plaidé pour la poursuite des efforts visant à inciter Israël à se conformer à la 1701 et à cesser ses violations du territoire et de l’espace aérien libanais, précisant que le Liban se réserve toujours le droit de libérer et de récupérer les terrains encore sous occupation israélienne à Chebaa, Kfarchouba et Ghajar « par tous les moyens légitimes ».
M. Sleiman a, par ailleurs, annoncé la reconnaissance par le Liban du Conseil national de transition (CNT) en Libye, exhortant les responsables libyens à élucider le sort de l’imam Moussa Sadr et de ses compagnons disparus lors d’une visite à Tripoli en 1978.
Le président Sleiman a été le huitième à prendre la parole à la tribune de l’Assemblée générale, mercredi, après le Brésil, les États-Unis, le Qatar, le Mexique, la Russie, la France et l’Argentine.
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