L’ancien ministre de la Justice Ibrahim Najjar a expliqué hier qu’un don individuel à titre de contribution au financement du Tribunal spécial pour le Liban a besoin d’être avalisé par le gouvernement libanais, lequel, s’il est d’accord, aurait pris la décision de contribuer au financement du TSL « par alternance ».
« Les appels lancés par d’aucuns pour que la contribution soit versée par des individus privés entrent dans le cadre des tiraillements verbaux et n’ont rien de juridique », a souligné M. Najjar à la radio.
« L’acceptation d’un don individuel pour financer le tribunal nécessite une décision du gouvernement. Si ce dernier accepte que quelqu’un paye à la place de l’État libanais, cela voudra dire que le cabinet a pris la décision de financer le TSL par alternance », a-t-il dit.
Pour M. Najjar, toute défaillance de la part du Liban dans la mise en œuvre de ses engagements internationaux entraînera des mesures de la part de la communauté internationale.
« Les appels lancés par d’aucuns pour que la contribution soit versée par des individus privés entrent dans le cadre des tiraillements verbaux et n’ont rien de juridique », a souligné M. Najjar à la radio.
« L’acceptation d’un don individuel pour financer le tribunal nécessite une décision du gouvernement. Si ce dernier accepte que quelqu’un paye à la place de l’État libanais, cela voudra dire que le cabinet a pris la décision de financer le TSL par alternance », a-t-il dit.
Pour M. Najjar, toute défaillance de la part du Liban dans la mise en œuvre de ses engagements internationaux entraînera des mesures de la part de la communauté internationale.
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