« Le gouvernement donne l’impression d’être absent et non concerné », souligne le texte.Pour les députés du Futur, « le parti des armes est arrivé à un point où il n’est plus capable de supporter des propos en désaccord avec son point de vue et ses orientations, même dans le cadre d’une séance parlementaire. Le communiqué faisait référence à l’incident survenu lundi, à la Chambre, lors de la séance de la commission des Droits de l’homme, au cours de laquelle le député Ahmad Fatfat, du bloc du Futur, avait été, selon lui, pris à partie par son collègue du Hezbollah Ali Ammar.
Exprimant ses condoléances au TSL et à la famille d’Antonio Cassese à la suite du décès de l’ex-président du tribunal, le bloc du Futur juge « regrettable que ce soit sa mort, due à une maladie musculaire, qui vienne démentir les allégations et les accusations propagées autour de lui et des causes de sa démission du tribunal ». Selon le bloc, « ces allégations nulles et non avenues étaient l’œuvre du Hezbollah, de ses instruments et de ses médias ».
« Cette position négative montre qui se tient aux côtés des criminels et qui est aux côtés des martyrs », estime le bloc du Futur dans un communiqué. Après cela, le chef du gouvernement, « qui s’était engagé en faveur du financement du TSL, ne devrait plus se contenter de lancer des promesses vides », ajoute le texte.
Cette demande a été formulée au lendemain des propos tenus par le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, qui s’était exprimé contre le versement par l’État libanais de cette contribution.
Le bloc parlementaire du Futur, réuni hier sous l’égide de son chef, Fouad Siniora, a pressé le Premier ministre, Nagib Mikati, de se prononcer « sans ambivalence » sur la question de la contribution libanaise au financement du Tribunal spécial pour le Liban.
« Cette position négative montre qui se tient aux côtés des criminels et qui est aux côtés des martyrs », estime le bloc du Futur dans un communiqué. Après cela, le chef du gouvernement, « qui s’était engagé en faveur du financement du TSL, ne devrait plus se contenter de lancer des promesses vides », ajoute le texte.
Cette demande a été formulée au lendemain des propos tenus par le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, qui s’était exprimé contre le versement par l’État libanais de cette contribution.
Le bloc parlementaire du Futur, réuni hier sous l’égide de son chef, Fouad Siniora, a pressé le Premier ministre, Nagib Mikati, de se prononcer « sans ambivalence » sur la question de la contribution libanaise au financement du Tribunal spécial pour le Liban.
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