
Le président du Conseil Nagib Mikati réuni avec les ambassadeurs européens. Photo Dalati et Nohra
Le président du Conseil, Nagib Mikati, a assuré hier aux ambassadeurs des pays de l’Union européenne que son gouvernement respecte les résolutions de l’ONU et s’engage à maintenir les meilleures relations avec l’organisation internationale. La déclaration ministérielle comprendra un article clair portant sur l’activation du partenariat entre le Liban et l’UE, a assuré Mikati aux ambassadeurs européens au cours d’une réunion qu’il a tenue avec eux.
À l’issue de la réunion, un communiqué de presse publié par le bureau de la Délégation de l’UE au nom de tous les ambassadeurs des États membres de l’UE souligne que les chefs des missions diplomatiques des pays européens ont « réitéré le fait qu’il est important pour ce nouveau gouvernement d’adopter une déclaration ministérielle qui respecte les obligations internationales du Liban, plus particulièrement en ce qui concerne les résolutions du Conseil de sécurité 1701 et 1757 ». « Le Tribunal spécial pour le Liban doit continuer son travail sans entraves et avec la coopération des autorités libanaises », souligne le communiqué européen.
La délégation était conduite par l’ambassadrice de l’UE Angelina Eichhorst. La réunion s’est déroulée en présence du ministre des Affaires étrangères Adnane Mansour.
Au terme de cette réunion, l’ambassadeur de l’UE a fait une déclaration au nom des ambassadeurs membres de l’UE, dans laquellle elle a notamment souligné : « Nous nous sommes référés à la déclaration de la haute représentante de l’Union européenne Catherine Ashton, le 14 juin, dans laquelle elle s’est félicitée de la formation du gouvernement au Liban, qui a mis fin à des mois de blocage politique et institutionnel. Nous avons également réaffirmé l’importance que l’Union européenne attache au fonctionnement indépendant et démocratique des institutions libanaises. Le Liban est un partenaire important pour l’Union européenne et nous aspirons à une coopération renforcée dans le contexte de la nouvelle Politique européenne de voisinage, adoptée à Bruxelles le 25 mai 2011. Cette politique est fondée sur la base qu’une coopération politique plus étroite, davantage d’intégration économique, et un soutien accru de l’UE dépendront des progrès accomplis au niveau des réformes. »
Vingt-trois des vingt-sept États membres de l’UE ont des ambassadeurs accrédités au Liban, dont seize résidant dans le pays. L’Union européenne (États membres, Commission européenne et Banque européenne d’investissement) alloue en moyenne 220 millions d’euros par an sous forme de subventions et de prêts au Liban, qui est actuellement le deuxième pays bénéficiaire de l’aide de l’UE dans le voisinage du Sud.
Notons sur un autre plan que le Premier ministre a également reçu hier le commandant de la Finul, le général Alberto Asarta. La situation au Sud-Liban et la coopération entre l’armée libanaise et la Finul ont été au centre de cet entretien. Le président Mikati a insisté à cette occasion sur l’application intégrale de la résolution 1701.
À l’issue de la réunion, un communiqué de presse publié par le bureau de la Délégation de l’UE au nom de tous les ambassadeurs des États membres de l’UE souligne que les chefs des missions diplomatiques des pays européens ont « réitéré le fait qu’il est important pour ce nouveau gouvernement d’adopter une déclaration ministérielle qui respecte les obligations internationales du Liban, plus particulièrement en ce qui concerne les résolutions du Conseil de sécurité 1701 et 1757 ». « Le Tribunal spécial pour le Liban doit continuer son travail sans entraves et avec la coopération des autorités libanaises », souligne le communiqué européen.
La délégation était conduite par l’ambassadrice de l’UE Angelina Eichhorst. La réunion s’est déroulée en présence du ministre des Affaires étrangères Adnane Mansour.
Au terme de cette réunion, l’ambassadeur de l’UE a fait une déclaration au nom des ambassadeurs membres de l’UE, dans laquellle elle a notamment souligné : « Nous nous sommes référés à la déclaration de la haute représentante de l’Union européenne Catherine Ashton, le 14 juin, dans laquelle elle s’est félicitée de la formation du gouvernement au Liban, qui a mis fin à des mois de blocage politique et institutionnel. Nous avons également réaffirmé l’importance que l’Union européenne attache au fonctionnement indépendant et démocratique des institutions libanaises. Le Liban est un partenaire important pour l’Union européenne et nous aspirons à une coopération renforcée dans le contexte de la nouvelle Politique européenne de voisinage, adoptée à Bruxelles le 25 mai 2011. Cette politique est fondée sur la base qu’une coopération politique plus étroite, davantage d’intégration économique, et un soutien accru de l’UE dépendront des progrès accomplis au niveau des réformes. »
Vingt-trois des vingt-sept États membres de l’UE ont des ambassadeurs accrédités au Liban, dont seize résidant dans le pays. L’Union européenne (États membres, Commission européenne et Banque européenne d’investissement) alloue en moyenne 220 millions d’euros par an sous forme de subventions et de prêts au Liban, qui est actuellement le deuxième pays bénéficiaire de l’aide de l’UE dans le voisinage du Sud.
Notons sur un autre plan que le Premier ministre a également reçu hier le commandant de la Finul, le général Alberto Asarta. La situation au Sud-Liban et la coopération entre l’armée libanaise et la Finul ont été au centre de cet entretien. Le président Mikati a insisté à cette occasion sur l’application intégrale de la résolution 1701.

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