Nous avons reçu de la présidente de la Fondation nationale du patrimoine, Mona Hraoui, la communication suivante au sujet du nettoyage, samedi, du site historique de Nahr el-Kalb :
« La Fondation nationale du patrimoine tient avant tout à féliciter les ONG, les étudiants et tous ceux qui ont participé avec joie à I’action collective de nettoyer le site historique de Nahr el-Kalb et de débarrasser ses 22 stèles taillées à même le rocher des détritus qui les jonchaient.
Néanmoins, il nous semble impératif de rappeler ce qui suit :
- Tout d’abord, c’est la Fondation nationale du patrimoine qui, réalisant l’importance archéologique et historique du site de Nahr eI-Kalb, a œuvré pour sa revalorisation en coopération avec le ministère de la Culture, en 2003.
- La fondation a réussi, en collaboration avec la DGA et les commissions spécialisées, à :
1- restaurer, réhabiliter toutes les stèles exposées au ruissellement, à l’efflorescence, à l’érosion alvéolaire, à l’impact de balles, aux graffitis et aux marques des panneaux publicitaires ;
2- installer des panneaux indicateurs et établir une signalétique qui comprend la traduction des textes et Ie traitement infographique des panneaux ;
3- réhabiliter l’escalier et les routes, ponts, caniveaux et installations électriques.
Les travaux commencés au début de juillet ont été achevés avant le 21 novembre 2003, date de la réouverture officielle du site de Nahr el-Kalb, sous le haut patronage du président de la République. Ainsi, la lumière a été projetée sur ce trésor national (revoir à ce sujet l’article paru dans L’Orient-Le Jour du 25/11/2003).
Nous tenons ici à préciser que la Fondation nationale du patrimoine a dépensé plus de 150 000 dollars pour exécuter les travaux. Elle a remis les clés de la porte du site restauré à la municipalité de Dbayeh, qui était, depuis, supposée assurer la présence d’un gardien en coopération avec les ministères concernés et créer un point d’information. Malheureusement, cet accord n’a pas été pris en compte. La porte a été défoncée et le site est devenu un passage pour les piétons.
À notre tour d’espérer qu’il sera à partir de ce jour épargné. »
Néanmoins, il nous semble impératif de rappeler ce qui suit :
- Tout d’abord, c’est la Fondation nationale du patrimoine qui, réalisant l’importance archéologique et historique du site de Nahr eI-Kalb, a œuvré pour sa revalorisation en coopération avec le ministère de la Culture, en 2003.
- La fondation a réussi, en collaboration avec la DGA et les commissions spécialisées, à :
1- restaurer, réhabiliter toutes les stèles exposées au ruissellement, à l’efflorescence, à l’érosion alvéolaire, à l’impact de balles, aux graffitis et aux marques des panneaux publicitaires ;
2- installer des panneaux indicateurs et établir une signalétique qui comprend la traduction des textes et Ie traitement infographique des panneaux ;
3- réhabiliter l’escalier et les routes, ponts, caniveaux et installations électriques.
Les travaux commencés au début de juillet ont été achevés avant le 21 novembre 2003, date de la réouverture officielle du site de Nahr el-Kalb, sous le haut patronage du président de la République. Ainsi, la lumière a été projetée sur ce trésor national (revoir à ce sujet l’article paru dans L’Orient-Le Jour du 25/11/2003).
Nous tenons ici à préciser que la Fondation nationale du patrimoine a dépensé plus de 150 000 dollars pour exécuter les travaux. Elle a remis les clés de la porte du site restauré à la municipalité de Dbayeh, qui était, depuis, supposée assurer la présence d’un gardien en coopération avec les ministères concernés et créer un point d’information. Malheureusement, cet accord n’a pas été pris en compte. La porte a été défoncée et le site est devenu un passage pour les piétons.
À notre tour d’espérer qu’il sera à partir de ce jour épargné. »
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