Abdallah Kanjo, Nadim Kanjo et Maya Aouad ont été
victimes d’intoxication alimentaire suite à la consommation de poulet avarié
dans un snack à Tripoli. Les trois personnes ont été transportées à l’hôpital
gouvernemental de la ville, où des examens ont été effectués pour déterminer la
cause de l’intoxication. Les forces de sécurité et le médecin légiste ont été
dépêchés sur les lieux.
Par ailleurs, le ministre de l’Agriculture Hussein Hajj Hassan a révélé que « le dossier des produits avariés a entraîné un recul de 15 % des indicateurs touristiques ». Dans un entretien accordé samedi à la LBCI, M. Hajj Hassan a assuré que les ministères de l’Économie et de la Santé « perquisitionnent les dépôts susceptibles d’entreposer des produits alimentaires avariés ». Il a souligné que « la justice prendra des mesures sévères à l’encontre des contrevenants, estimant qu’il s’agit de crimes et non de délits ».
Le ministre a en outre noté que la quantité de produits alimentaires avariés saisie est estimée à environ 350 tonnes, « ce qui ne constitue pas une grande quantité au point de créer cette panique », d’autant que le Liban « importe la viande par milliers de tonnes ». « Toutefois, je ne banalise pas le problème », a-t-il insisté. M. Hajj Hassan a de même constaté que « de fausses indications » ont circulé dans le cadre de ce dossier, critiquant les médias qui ont « gonflé ces informations ».
Par ailleurs, le ministre de l’Agriculture Hussein Hajj Hassan a révélé que « le dossier des produits avariés a entraîné un recul de 15 % des indicateurs touristiques ». Dans un entretien accordé samedi à la LBCI, M. Hajj Hassan a assuré que les ministères de l’Économie et de la Santé « perquisitionnent les dépôts susceptibles d’entreposer des produits alimentaires avariés ». Il a souligné que « la justice prendra des mesures sévères à l’encontre des contrevenants, estimant qu’il s’agit de crimes et non de délits ».
Le ministre a en outre noté que la quantité de produits alimentaires avariés saisie est estimée à environ 350 tonnes, « ce qui ne constitue pas une grande quantité au point de créer cette panique », d’autant que le Liban « importe la viande par milliers de tonnes ». « Toutefois, je ne banalise pas le problème », a-t-il insisté. M. Hajj Hassan a de même constaté que « de fausses indications » ont circulé dans le cadre de ce dossier, critiquant les médias qui ont « gonflé ces informations ».
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