L'évêché chaldéen de Beyrouth a dénoncé
hier « les mauvaises conditions de vie des réfugiés irakiens au
Liban ». Ils ne « bénéficient pas du statut de réfugiés » tel
que défini internationalement par les Nations unies, mais sont considérés par
l'État libanais « comme des touristes ». C'est dans un communiqué que
l'évêché chaldéen a tenu à mettre en exergue la grande précarité des réfugiés
irakiens, « dans l'attente de leur transfert dans les pays d'accueil
européens, si toutefois ils bénéficient de cet accueil », a-t-il indiqué.
« Les Irakiens du Liban sont interdits de travail. S'ils en trouvent, c'est dans des conditions impossibles et avec des salaires extrêmement bas », poursuit le communiqué. Et d'affirmer que nombre d'entre eux « sont jetés en prison parce que leurs papiers ne sont pas en règle. D'autres ont été rapatriés de force, alors que le reste vit dans une pauvreté extrême, malgré les aides fournies par la communauté ».
L'évêché chaldéen a de plus pointé du doigt « la machine de la mort, du déplacement des populations et de l'extrémisme religieux qui continue de vider l'Orient de ses chrétiens alors que se poursuit irrémédiablement son plan diabolique ».
« Les Irakiens du Liban sont interdits de travail. S'ils en trouvent, c'est dans des conditions impossibles et avec des salaires extrêmement bas », poursuit le communiqué. Et d'affirmer que nombre d'entre eux « sont jetés en prison parce que leurs papiers ne sont pas en règle. D'autres ont été rapatriés de force, alors que le reste vit dans une pauvreté extrême, malgré les aides fournies par la communauté ».
L'évêché chaldéen a de plus pointé du doigt « la machine de la mort, du déplacement des populations et de l'extrémisme religieux qui continue de vider l'Orient de ses chrétiens alors que se poursuit irrémédiablement son plan diabolique ».
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