Le député du Bloc du changement et de la réforme, Nabil Nicolas, a appelé hier le ministre de l'Intérieur Ziyad Baroud à prendre connaissance des plaintes concernant le service des renseignements des Forces de sécurité intérieure et de prendre les décisions adéquates, invitant M. Baroud à « rentrer chez lui s'il n'en est pas capable ».
Le député a accusé le directeur général des FSI d'avoir « outrepassé ses prérogatives », précisant qu'il demande simplement « que la loi soit appliquée et que les 150 poursuites » engagées contre le service des renseignements des FSI « soient prises en compte ».
M. Nicolas a précisé que le ministre de l'Intérieur peut lui-même se pencher sur ce dossier, ce qui lui permettra d'entamer une réforme, a-t-il dit. Et de relever qu'« il y a une nette différence entre une milice et les FSI, que seule la loi peut déterminer », rappelant que le service des renseignements des FSI n'est soumis à aucune loi. Le député a fait remarquer qu'il existe des prérogatives qui s'enchevêtrent au niveau des services de sécurité qui, a-t-il dit, « ne coordonnent pas entre eux ». « Chaque service relève d'un groupe politique donné », a-t-il dit, soulignant que le service de renseignements de l'armée, par exemple, relève du chef de l'État.
Pour sa part, le député du même bloc, Ziad Assouad, a indiqué à l'issue d'une rencontre avec le responsable de la région du Sud au sein du Hezbollah, cheikh Nabil Kaouk, que pour être crédible, la vérité concernant l'assassinat de Rafic Hariri devrait être recherchée en commençant par enquêter sur les faux témoins.
M. Nicolas a précisé que le ministre de l'Intérieur peut lui-même se pencher sur ce dossier, ce qui lui permettra d'entamer une réforme, a-t-il dit. Et de relever qu'« il y a une nette différence entre une milice et les FSI, que seule la loi peut déterminer », rappelant que le service des renseignements des FSI n'est soumis à aucune loi. Le député a fait remarquer qu'il existe des prérogatives qui s'enchevêtrent au niveau des services de sécurité qui, a-t-il dit, « ne coordonnent pas entre eux ». « Chaque service relève d'un groupe politique donné », a-t-il dit, soulignant que le service de renseignements de l'armée, par exemple, relève du chef de l'État.
Pour sa part, le député du même bloc, Ziad Assouad, a indiqué à l'issue d'une rencontre avec le responsable de la région du Sud au sein du Hezbollah, cheikh Nabil Kaouk, que pour être crédible, la vérité concernant l'assassinat de Rafic Hariri devrait être recherchée en commençant par enquêter sur les faux témoins.
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