Le ministre d'État pour les Affaires du Parlement, Michel Pharaon, a une nouvelle fois lancé hier une mise en garde contre toute transgression de la déclaration ministérielle, soulignant que cela menacerait la stabilité politique du pays.
« Le tribunal international, tout comme la résolution 1701 (du Conseil de sécurité), est au cœur de la déclaration ministérielle. Toute remise en question de l'un ou de l'autre point équivaudrait à une transgression » de ce document, a déclaré M. Pharaon.
« Les appels à respecter l'engagement envers le TSL et la déclaration ministérielle ne visent pas à la provocation, a-t-il déclaré. Le débat autour du tribunal ou de la question des faux témoins devrait se dérouler à l'écart de toute approche provocatrice », a-t-il dit, concédant la nécessité de « prendre en compte certaines craintes en rejetant toute politisation du TSL et en décidant à l'unanimité de surveiller son action ».
« La politique est l'art du possible et les demandes rédhibitoires qui s'écartent du seuil minimal d'entente nationale ne facilitent pas les choses », a-t-il ajouté.
Pour M. Pharaon, « le discours politique (de l'ex-opposition) commence à effleurer les lignes rouges et à sortir du cadre du compromis de Doha et de la déclaration ministérielle. Cela constitue un danger pour l'entente intérieure et l'action gouvernementale ».
« Il faut davantage de dialogue car il n'existe pas d'alternative à l'entente et à la déclaration ministérielle, sinon nous retombons dans le désaccord qui menacerait la stabilité politique », a-t-il conclu.
« Les appels à respecter l'engagement envers le TSL et la déclaration ministérielle ne visent pas à la provocation, a-t-il déclaré. Le débat autour du tribunal ou de la question des faux témoins devrait se dérouler à l'écart de toute approche provocatrice », a-t-il dit, concédant la nécessité de « prendre en compte certaines craintes en rejetant toute politisation du TSL et en décidant à l'unanimité de surveiller son action ».
« La politique est l'art du possible et les demandes rédhibitoires qui s'écartent du seuil minimal d'entente nationale ne facilitent pas les choses », a-t-il ajouté.
Pour M. Pharaon, « le discours politique (de l'ex-opposition) commence à effleurer les lignes rouges et à sortir du cadre du compromis de Doha et de la déclaration ministérielle. Cela constitue un danger pour l'entente intérieure et l'action gouvernementale ».
« Il faut davantage de dialogue car il n'existe pas d'alternative à l'entente et à la déclaration ministérielle, sinon nous retombons dans le désaccord qui menacerait la stabilité politique », a-t-il conclu.
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