Le ministre du Travail, Sejaan Azzi, a présidé hier une réunion de la commission chargée par le Conseil des ministres de discuter du plan national pour la lutte contre « les pires formes de travail des enfants » au Liban. Étaient présents le mohafez de Beyrouth Ziad Chbeib, représentant le ministère de l'Intérieur, les directeurs généraux des ministères de la Justice, des Finances, de l'Éducation et du Travail, ainsi que des représentants d'autres institutions concernées.
Le ministre a appelé « à lutter contre le phénomène du travail des enfants, car les mineurs ne doivent pas être combattus mais soumis aux traitements adéquats ». « Les enfants sont victimes de la société et de l'État », a-t-il poursuivi. Il a ensuite fait le lien entre la protection de l'enfance et la lutte contre le terrorisme, estimant que « certains mineurs que l'on croise dans les rues sont des projets de crimes à venir ». « Ils seront recrutés d'une façon ou d'une autre dans le monde du crime, de la drogue, du terrorisme, ou des trois ensemble », a-t-il ajouté.
M. Azzi a demandé à tous les ministères concernés de traiter ce problème sous un angle objectif, humanitaire et national. Les directeurs généraux ont ensuite présenté leurs remarques, dont les principales tournent autour de la nécessité d'impliquer toutes les parties concernées dans la mise en application du plan, qu'il faut financer de manière urgente. Il a été décidé de créer un comité technique qui intégrera ces remarques dans un texte, en vue d'une réunion prochaine entre les différents acteurs.
Le ministre a appelé « à lutter contre le phénomène du travail des enfants, car les mineurs ne doivent pas être combattus mais soumis aux traitements adéquats ». « Les enfants sont victimes de la société et de l'État », a-t-il poursuivi. Il a ensuite fait le lien entre la protection de l'enfance et la lutte contre le terrorisme, estimant que « certains mineurs que l'on croise dans les rues sont des projets de crimes à venir ». « Ils seront recrutés d'une façon ou d'une autre dans le monde du crime, de la drogue, du terrorisme, ou des trois ensemble », a-t-il ajouté.
M. Azzi a demandé à tous les ministères concernés de traiter ce problème sous un angle objectif, humanitaire et national. Les directeurs généraux ont ensuite présenté leurs remarques, dont les principales tournent autour de la nécessité d'impliquer toutes les parties concernées dans la mise en application du plan, qu'il faut financer de manière urgente. Il a été décidé de créer un comité technique qui intégrera ces remarques dans un texte, en vue d'une réunion prochaine entre les différents acteurs.
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