Le feuilleton des employées de maison qui décèdent dans des circonstances mystérieuses se poursuit. Hier, Péri Baby, de nationalité bangladaise, a été retrouvée égorgée dans la salle de bains du domicile de ses employeurs, à Tripoli.
Dans une interview accordée à la LBCI, les propriétaires du domicile indiquent s'être aperçus de l'absence de Péri Baby. Après l'avoir recherchée dans les différentes pièces de la maison, ils l'ont retrouvée assise sur le cabinet de la salle de bains, le sang giclant du cou.
L'employeuse assure de son côté que le couteau qui a été retrouvé près de la jeune femme n'était pas rangé à la cuisine, mais servait à égorger le bétail.
Selon ses employeurs, Péri Baby n'avait qu'une seule obsession : rentrer dans son pays. Mais de nombreux écueils ont retardé ce départ, comme le fait de faire l'objet d'une plainte pour fugue que lui avait intenté son ancienne employeuse, qui est d'ailleurs restée sa garante. Au terme de nombreuses démarches auprès de la Sûreté générale, ses employeurs actuels ont réussi à régulariser sa situation.
Un médecin légiste a été dépêché sur les lieux et une enquête a été ouverte. Selon les résultats préliminaires, Péri Baby se serait suicidée, confie à L'Orient-Le Jour une source sécuritaire.
Par ailleurs, le ministre du Travail, Sejaan Azzi, a chargé les enquêteurs du ministère à Tripoli de suivre le cas de Péri Baby. Il a également donné ses instructions pour ouvrir une enquête dans l'affaire d'une autre employée de nationalité bangladaise qui s'est réfugiée près du centre des migrants de Caritas-Liban. Dans un communiqué, le ministère a précisé que le centre l'avait informé du cas de la jeune femme. Cette dernière se plaint de ses employeurs, qui refusent de lui payer son salaire. La situation dure depuis cinq ans. « Après avoir effectué les examens nécessaires, il s'est avéré que l'employée de maison est âgée de 17 ans. Cela signifie qu'elle est venue au Liban à l'âge de 12 ans, après que son âge eut été falsifié au Bengladesh », a précisé le ministère.
Il a en outre assuré que le département d'enquête « poursuivra le bureau qui l'a recrutée et mènera une enquête auprès de son employeur afin de prendre les mesures légales adéquates ».
Dans une interview accordée à la LBCI, les propriétaires du domicile indiquent s'être aperçus de l'absence de Péri Baby. Après l'avoir recherchée dans les différentes pièces de la maison, ils l'ont retrouvée assise sur le cabinet de la salle de bains, le sang giclant du cou.
L'employeuse assure de son côté que le couteau qui a été retrouvé près de la jeune femme n'était pas rangé à la cuisine, mais servait à égorger le bétail.
Selon ses employeurs, Péri Baby n'avait qu'une seule obsession : rentrer dans son pays. Mais de nombreux écueils ont retardé ce départ, comme le fait de faire l'objet d'une plainte pour fugue que lui avait intenté son ancienne employeuse, qui est d'ailleurs restée sa garante. Au terme de nombreuses démarches auprès de la Sûreté générale, ses employeurs actuels ont réussi à régulariser sa situation.
Un médecin légiste a été dépêché sur les lieux et une enquête a été ouverte. Selon les résultats préliminaires, Péri Baby se serait suicidée, confie à L'Orient-Le Jour une source sécuritaire.
Par ailleurs, le ministre du Travail, Sejaan Azzi, a chargé les enquêteurs du ministère à Tripoli de suivre le cas de Péri Baby. Il a également donné ses instructions pour ouvrir une enquête dans l'affaire d'une autre employée de nationalité bangladaise qui s'est réfugiée près du centre des migrants de Caritas-Liban. Dans un communiqué, le ministère a précisé que le centre l'avait informé du cas de la jeune femme. Cette dernière se plaint de ses employeurs, qui refusent de lui payer son salaire. La situation dure depuis cinq ans. « Après avoir effectué les examens nécessaires, il s'est avéré que l'employée de maison est âgée de 17 ans. Cela signifie qu'elle est venue au Liban à l'âge de 12 ans, après que son âge eut été falsifié au Bengladesh », a précisé le ministère.
Il a en outre assuré que le département d'enquête « poursuivra le bureau qui l'a recrutée et mènera une enquête auprès de son employeur afin de prendre les mesures légales adéquates ».
No comments:
Post a Comment