« Si la classe politique avait du courage, elle aurait exprimé sa solidarité avec le peuple syrien », a déclaré le chef de l’Option libanaise.
Pour le premier anniversaire du décès de l’ancien président de la Chambre, Kamel el-Assaad, une cérémonie a été organisée dans la résidence familiale à Taybé, en présence de cadres du parti de l’Option libanaise d’Ahmad el-Assaad et de notables de la région.
Dans le discours qu’il a prononcé pour la circonstance, M. Assaad s’en est pris violemment aux autorités et à la classe politique en déplorant en substance « l’absence de responsables capables de sacrifier leurs postes pour leurs convictions, de soutenir le droit et qui ne craignent pas la vérité ».
Dans le discours qu’il a prononcé pour la circonstance, M. Assaad s’en est pris violemment aux autorités et à la classe politique en déplorant en substance « l’absence de responsables capables de sacrifier leurs postes pour leurs convictions, de soutenir le droit et qui ne craignent pas la vérité ».
« J’aurai bien voulu entendre un seul responsable parler de la révolution en Syrie. Si la classe politique avait du courage, elle aurait fait part de sa solidarité avec le peuple syrien. Il est de notre devoir, Libanais et Arabes, de nous solidariser avec nos frères syriens, (....) au moins d’un point de vue humanitaire », a-t-il dit, accusant la classe politique « de se cacher derrière son petit doigt parce qu’elle redoute la réaction du régime syrien face à ses positions ».
M. Assaad s’est ensuite arrêté sur le dossier du Tribunal spécial pour le Liban. « Nous voulons savoir qui sont derrière les assassinats politiques au Liban, mais malheureusement, certains veulent nous priver d’avoir accès à ces informations. Pire encore : certains connaissent parfaitement la vérité, mais veulent l’étouffer », a-t-il déploré, estimant que « le Tribunal spécial pour le Liban est la seule voie vers cette vérité ».
Partant du principe que l’acte d’accusation prévu dans l’affaire Hariri « peut contenir des erreurs ou faire la lumière » sur l’attentat du 14 février 2005, le chef de l’Option libanaise a relevé que « la procédure juridique permettra de confirmer ou de rejeter les charges » retenues contre les personnes accusées.
« Ceux qui savent que le droit est de leur côté ne doivent craindre aucun complot, parce que le droit finit toujours par prévaloir et ceux qui essaient de fuir devant le TSL prouvent qu’ils redoutent la vérité et se condamnent eux-mêmes », a-t-il ajouté, soulignant que le tribunal international « reste une option meilleure qu’une justice libanaise sujette aux pressions politiques ». « Le TSL, a encore dit M. Assaad, ne ressuscitera pas les morts, mais aura le mérite de garantir la sécurité du peuple libanais. Les auteurs des attentats réfléchiront à deux fois avant de commettre de nouveaux crimes. »
M. Assaad s’est ensuite arrêté sur le dossier du Tribunal spécial pour le Liban. « Nous voulons savoir qui sont derrière les assassinats politiques au Liban, mais malheureusement, certains veulent nous priver d’avoir accès à ces informations. Pire encore : certains connaissent parfaitement la vérité, mais veulent l’étouffer », a-t-il déploré, estimant que « le Tribunal spécial pour le Liban est la seule voie vers cette vérité ».
Partant du principe que l’acte d’accusation prévu dans l’affaire Hariri « peut contenir des erreurs ou faire la lumière » sur l’attentat du 14 février 2005, le chef de l’Option libanaise a relevé que « la procédure juridique permettra de confirmer ou de rejeter les charges » retenues contre les personnes accusées.
« Ceux qui savent que le droit est de leur côté ne doivent craindre aucun complot, parce que le droit finit toujours par prévaloir et ceux qui essaient de fuir devant le TSL prouvent qu’ils redoutent la vérité et se condamnent eux-mêmes », a-t-il ajouté, soulignant que le tribunal international « reste une option meilleure qu’une justice libanaise sujette aux pressions politiques ». « Le TSL, a encore dit M. Assaad, ne ressuscitera pas les morts, mais aura le mérite de garantir la sécurité du peuple libanais. Les auteurs des attentats réfléchiront à deux fois avant de commettre de nouveaux crimes. »
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