Réuni sous la présidence du ministre de l’Intérieur, Marwan Charbel, le Conseil central de sécurité s’est décerné un satisfecit, pour la rapidité avec laquelle il a arrêté les auteurs du cambriolage de l’archevêché grec-orthodoxe de Beyrouth et l’assassin de Myriam Achkar, à Sahel Alma, et la persévérance dont il a su faire preuve pour identifier les auteurs des assassinats en série de chauffeurs de taxi.
Le Conseil s’est également félicité pour les mesures de sécurité prises à Saïda, en coordination avec l’armée et les FSI, et qui ont abouti à l’identification du pyromane responsable de 14 incendies de voitures dans la cité, entre le 17 novembre et le 3 décembre 2011.
Par ailleurs, le Conseil central de sécurité a pris ses dispositions pour assurer la sécurité durant les fêtes de fin d’année, ainsi que pour optimiser les mesures routières destinées à réduire les embouteillages sur les grands axes. On sait d’ores et déjà que les avions et les hôtels sont au grand complet pour la saison des fêtes.
Enfin, l’organisme de sécurité a pris des mesures de sécurité à caractère confidentiel. On ignore si, dans ce cadre, il a tenu compte des doléances de l’ordre des pharmaciens, à l’ombre de la grève symbolique de 15 minutes observée hier (entre midi et midi quinze), pour protester contre la multiplication des hold-up dans des pharmacies.
Arrestation du « Fantomas » de Saïda
Pour en revenir au pyromane de Saïda, le rapport de police précise qu’il s’agit d’un Palestinien, H.H., qui a avoué avoir agi sans mobile véritable autre que le plaisir de détruire. L’homme, est-il apparu, agissait en état d’ivresse. Aucun lien véritable n’existait entre ses victimes, ce qui avait désorienté la police.
Le malfaiteur avait enfin été identifié, après 14 incendies nocturnes, grâce à une caméra de surveillance installée près d’un magasin où un feu s’était déclaré. L’analyse immédiate des photos avait permis de repérer un homme en état d’ivresse, et ce dernier, reconnu à ses vêtements, avait été arrêté peu après : il s’est révélé être le « Fantomas » de Saïda. Il a avoué que sa méthode était très simple : jeter une éponge imbibée d’essence dans toute voiture dont le propriétaire avait oublié de relever l’une des vitres. Aujourd’hui, il cuve son arack dans une cellule humide du chef-lieu du Liban-Sud.
Le Conseil s’est également félicité pour les mesures de sécurité prises à Saïda, en coordination avec l’armée et les FSI, et qui ont abouti à l’identification du pyromane responsable de 14 incendies de voitures dans la cité, entre le 17 novembre et le 3 décembre 2011.
Par ailleurs, le Conseil central de sécurité a pris ses dispositions pour assurer la sécurité durant les fêtes de fin d’année, ainsi que pour optimiser les mesures routières destinées à réduire les embouteillages sur les grands axes. On sait d’ores et déjà que les avions et les hôtels sont au grand complet pour la saison des fêtes.
Enfin, l’organisme de sécurité a pris des mesures de sécurité à caractère confidentiel. On ignore si, dans ce cadre, il a tenu compte des doléances de l’ordre des pharmaciens, à l’ombre de la grève symbolique de 15 minutes observée hier (entre midi et midi quinze), pour protester contre la multiplication des hold-up dans des pharmacies.
Arrestation du « Fantomas » de Saïda
Pour en revenir au pyromane de Saïda, le rapport de police précise qu’il s’agit d’un Palestinien, H.H., qui a avoué avoir agi sans mobile véritable autre que le plaisir de détruire. L’homme, est-il apparu, agissait en état d’ivresse. Aucun lien véritable n’existait entre ses victimes, ce qui avait désorienté la police.
Le malfaiteur avait enfin été identifié, après 14 incendies nocturnes, grâce à une caméra de surveillance installée près d’un magasin où un feu s’était déclaré. L’analyse immédiate des photos avait permis de repérer un homme en état d’ivresse, et ce dernier, reconnu à ses vêtements, avait été arrêté peu après : il s’est révélé être le « Fantomas » de Saïda. Il a avoué que sa méthode était très simple : jeter une éponge imbibée d’essence dans toute voiture dont le propriétaire avait oublié de relever l’une des vitres. Aujourd’hui, il cuve son arack dans une cellule humide du chef-lieu du Liban-Sud.
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