Le leader du Parti socialiste progressiste (PSP) Walid Joumblatt a émis l’espoir, dans son éditorial hebdomadaire dans la revue de son parti al-Anba’, que les parties libanaises concernées accepteront le financement du Tribunal spécial pour le Liban (TSL), ce « qui serait dans l’intérêt du pays » et éviterait « des sanctions économiques et des tensions internes ». « Je renouvelle aussi mon appel à aller directement au TSL (à La Haye) pour se défendre face aux accusations que certains pourraient considérer comme injustes », a-t-il ajouté.
Si « certains » estiment que le TSL n’est pas impartial, le tribunal n’en constitue pas moins pour d’autres « la seule voie possible pour arriver à la vérité en ce qui concerne les assassinats politiques qui ont visé des hommes d’État, des intellectuels et des journalistes », a déclaré M. Joumblatt.
« La question des armes (du Hezbollah) ne sera pas réglée avec une baguette magique, ni à travers les médias et les discours, mais à travers un dialogue calme sur la stratégie de défense nationale qui protégerait le Liban de l’ennemi israélien et qui limiterait l’utilisation des armes à la défense face à Israël », a poursuivi le leader du PSP. À cette fin, « les différentes forces politiques devraient soutenir les institutions sécuritaires et militaires qui, je l’espère, coopéreront ensemble et resteront une garantie pour la défense de la paix civile », a-t-il ajouté.
« Toutes les parties libanaises devraient (...) éviter de devenir prisonnières de leurs positions » extrémistes, notamment à la lumière « de la situation sensible dans laquelle se trouve le Liban », a encore affirmé M. Joumblatt. « Ceci nécessiterait que les Libanais abordent calmement les changements régionaux importants pour éviter que ceux-ci ne se répercutent négativement sur la scène interne », a-t-il déclaré.
En ce qui concerne la Syrie, M. Joumblatt a réitéré son opposition à la « solution sécuritaire » qui a été adoptée, en lieu et place de « la solution politique, à l’instar de celle prônée par l’initiative de la Ligue arabe ».
Si « certains » estiment que le TSL n’est pas impartial, le tribunal n’en constitue pas moins pour d’autres « la seule voie possible pour arriver à la vérité en ce qui concerne les assassinats politiques qui ont visé des hommes d’État, des intellectuels et des journalistes », a déclaré M. Joumblatt.
« La question des armes (du Hezbollah) ne sera pas réglée avec une baguette magique, ni à travers les médias et les discours, mais à travers un dialogue calme sur la stratégie de défense nationale qui protégerait le Liban de l’ennemi israélien et qui limiterait l’utilisation des armes à la défense face à Israël », a poursuivi le leader du PSP. À cette fin, « les différentes forces politiques devraient soutenir les institutions sécuritaires et militaires qui, je l’espère, coopéreront ensemble et resteront une garantie pour la défense de la paix civile », a-t-il ajouté.
« Toutes les parties libanaises devraient (...) éviter de devenir prisonnières de leurs positions » extrémistes, notamment à la lumière « de la situation sensible dans laquelle se trouve le Liban », a encore affirmé M. Joumblatt. « Ceci nécessiterait que les Libanais abordent calmement les changements régionaux importants pour éviter que ceux-ci ne se répercutent négativement sur la scène interne », a-t-il déclaré.
En ce qui concerne la Syrie, M. Joumblatt a réitéré son opposition à la « solution sécuritaire » qui a été adoptée, en lieu et place de « la solution politique, à l’instar de celle prônée par l’initiative de la Ligue arabe ».
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