« Le but principal du Tribunal spécial pour le Liban est de traduire en justice les assassins des citoyens libanais », a déclaré le président du TSL, le juge David Baragwanath, dans un communiqué rendu public hier par le bureau de presse de cette instance.
« Je conclus ma visite au Liban en étant fermement convaincu que nous remplirons notre mandat, qui consiste à lutter contre l’impunité », a-t-il dit.
Accompagné du vice-président du TSL, Ralph Riachi, M. Baragwanath avait effectué une visite de quatre jours à Beyrouth où il avait eu des entretiens avec le président Michel Sleiman, le chef du gouvernement Nagib Mikati, le chef de la diplomatie Adnane Mansour, le ministre de la Justice, Chakib Cortbaoui, et plusieurs autres personnalités libanaises, académiques et juridiques notamment.
Après avoir dressé un bref bilan de ses activités dans la capitale libanaise, le chef du TSL a affirmé avoir été « particulièrement sensible à la détermination des représentants du peuple libanais à faire appliquer l’État de droit et à établir la stabilité sur le long terme ». « Le tribunal, composé de juges professionnels internationaux et de hauts responsables de l’appareil judiciaire libanais, est une institution transitoire », a-t-il rappelé, avant d’ajouter : « Nous sommes déterminés à achever nos travaux aussi rapidement que possible, tout en garantissant une justice équitable. »
M. Baragwanath s’est ensuite dit convaincu que « la vigueur des communautés juridiques et universitaires du Liban permettra à l’administration de la justice de ce pays d’atteindre de nouveaux niveaux d’excellence ». « Le soutien dont nous bénéficions actuellement permettra au TSL de contribuer à établir la stabilité que chacun, mis à part les assassins, désire si ardemment, et qui ouvrira de nouvelles opportunités au Liban », a-t-il dit.
« Je conclus ma visite au Liban en étant fermement convaincu que nous remplirons notre mandat, qui consiste à lutter contre l’impunité », a-t-il dit.
Accompagné du vice-président du TSL, Ralph Riachi, M. Baragwanath avait effectué une visite de quatre jours à Beyrouth où il avait eu des entretiens avec le président Michel Sleiman, le chef du gouvernement Nagib Mikati, le chef de la diplomatie Adnane Mansour, le ministre de la Justice, Chakib Cortbaoui, et plusieurs autres personnalités libanaises, académiques et juridiques notamment.
Après avoir dressé un bref bilan de ses activités dans la capitale libanaise, le chef du TSL a affirmé avoir été « particulièrement sensible à la détermination des représentants du peuple libanais à faire appliquer l’État de droit et à établir la stabilité sur le long terme ». « Le tribunal, composé de juges professionnels internationaux et de hauts responsables de l’appareil judiciaire libanais, est une institution transitoire », a-t-il rappelé, avant d’ajouter : « Nous sommes déterminés à achever nos travaux aussi rapidement que possible, tout en garantissant une justice équitable. »
M. Baragwanath s’est ensuite dit convaincu que « la vigueur des communautés juridiques et universitaires du Liban permettra à l’administration de la justice de ce pays d’atteindre de nouveaux niveaux d’excellence ». « Le soutien dont nous bénéficions actuellement permettra au TSL de contribuer à établir la stabilité que chacun, mis à part les assassins, désire si ardemment, et qui ouvrira de nouvelles opportunités au Liban », a-t-il dit.
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