L’association du Prix Albert-Londres a exprimé mardi « sa solidarité » avec la réalisatrice franco-libanaise Danielle Arbid, lauréate du prix en 2001, dont le long-métrage de fiction Beirut Hotel a été interdit de projection au Liban.
« Les censeurs devraient savoir que leur action met un coup de projecteur sur les œuvres qu’ils entendent soustraire au public », remarque l’association dans un communiqué, estimant que « toutes les censures, qu’elles soient d’ordre moral, politique, économique ou religieux, sont condamnables ».
Rappelons que le bureau de censure de la Sûreté générale avait annulé la sortie de Beirut Hotel, prévue le 19 janvier 2012, en raison de références qui y étaient faites à l’assassinat de Rafic Hariri, bien qu’il s’agisse d’une œuvre de fiction. Danielle Arbid contestera cette décision devant la justice.
Le film sera diffusé sur Arte le 20 janvier dans sa version intégrale.
« Les censeurs devraient savoir que leur action met un coup de projecteur sur les œuvres qu’ils entendent soustraire au public », remarque l’association dans un communiqué, estimant que « toutes les censures, qu’elles soient d’ordre moral, politique, économique ou religieux, sont condamnables ».
Rappelons que le bureau de censure de la Sûreté générale avait annulé la sortie de Beirut Hotel, prévue le 19 janvier 2012, en raison de références qui y étaient faites à l’assassinat de Rafic Hariri, bien qu’il s’agisse d’une œuvre de fiction. Danielle Arbid contestera cette décision devant la justice.
Le film sera diffusé sur Arte le 20 janvier dans sa version intégrale.
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