Le site de Jabal Moussa dans le Kesrouan,
dont une association qui porte le nom assure la protection par le biais d’un
plan de travail élaboré sur plusieurs années, est désormais « site naturel
placé sous la protection du ministère de l’Environnement ». C’est ce qu’a
déclaré récemment le président de l’Association de Jabal Moussa, Pierre Doumet,
au cours d’une conférence qu’il donnait à l’invitation du Rotary Club de
Beyrouth. Le site, rappelons-le, avait précédemment été classé réserve de
biosphère par l’Unesco.
M. Doumet a précisé que « le décret 2494 a défini les limites du site et les terrains qu’il englobe, et stipulé que le ministère de l’Environnement est la partie qui décide des conditions écologiques d’obtention de permis pour n’importe quels construction ou travaux, imposant les mesures de protection de l’environnement qu’il estime nécessaires ».
M. Doumet a par ailleurs mis l’accent sur les efforts déployés actuellement par l’association en vue de développer l’écotourisme et le travail des femmes rurales. Il a parlé d’une étude menée actuellement dans l’objectif de créer une cuisine moderne qui fera travailler 37 femmes dans la confection de produits alimentaires du terroir. Ce projet se fera en collaboration avec la Middle East Partnership Initiative (MEPI), a-t-il dit. Sur le développement de l’écotourisme dans la réserve, il a précisé que le nombre de visiteurs augmentait chaque année, passant de 569 en 2009, à 1261 en 2010, à 1604 en 2011.
M. Doumet a précisé que « le décret 2494 a défini les limites du site et les terrains qu’il englobe, et stipulé que le ministère de l’Environnement est la partie qui décide des conditions écologiques d’obtention de permis pour n’importe quels construction ou travaux, imposant les mesures de protection de l’environnement qu’il estime nécessaires ».
M. Doumet a par ailleurs mis l’accent sur les efforts déployés actuellement par l’association en vue de développer l’écotourisme et le travail des femmes rurales. Il a parlé d’une étude menée actuellement dans l’objectif de créer une cuisine moderne qui fera travailler 37 femmes dans la confection de produits alimentaires du terroir. Ce projet se fera en collaboration avec la Middle East Partnership Initiative (MEPI), a-t-il dit. Sur le développement de l’écotourisme dans la réserve, il a précisé que le nombre de visiteurs augmentait chaque année, passant de 569 en 2009, à 1261 en 2010, à 1604 en 2011.
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