À l’invitation du patriarche maronite, Mgr
Béchara Raï, le Premier ministre Nagib Mikati a visité hier l’hôpital
psychiatrique de La Croix, à Bkennaya, qui fait face à des charges financières
accrues qui dépassent ses possibilités. Les ministres de la Santé et des
Affaires sociales, Ali Hassan Khalil et Waël Bou Faour, accompagnaient le chef
du gouvernement.
Sous la conduite de mère Marie Makhlouf, supérieure de la congrégation des
sœurs de La Croix, et de mère Arzé Gemayel, supérieure du couvent, le Premier
ministre et le patriarche ont inspecté les lieux et constaté les besoins. Un
certain nombre de médecins et de membres du personnel hospitalier ont participé
à cette tournée, dont les journalistes ont été tenus à l’écart par égard pour
les malades.
« Vous êtes le bienvenu dans le monde du bienheureux Abouna Yaacoub, a dit mère Marie Makhlouf, accueillant M. Mikati (...). Votre visite aujourd’hui est importante, je dirais presque déterminante et historique (...). De grandes difficultés financières influent sur la qualité de nos services. Elles ne nous empêchent pas d’accomplir nos devoirs humanitaires envers tous les malades sans distinction, conformément aux intentions du fondateur, mais nous accomplissons notre devoir dans l’espoir que l’État accomplira le sien. »
En réponse, le Premier ministre s’est engagé à faire de son mieux pour répondre aux besoins de l’hôpital, dans les limites des possibilités du Trésor. Il s’est félicité, au passage, de l’excellence des services rendus par l’hôpital psychiatrique et s’est dit réjoui d’apprendre que les religieuses de La Croix vont fonder un hôpital au Akkar.
« Je peux vous assurer que l’État sera toujours à vos côtés et ne vous fera pas défaut dans les bonnes œuvres que vous accomplissez, qu’elles soient hospitalières ou de bienfaisance », a notamment affirmé le Premier ministre.
« Vous êtes le bienvenu dans le monde du bienheureux Abouna Yaacoub, a dit mère Marie Makhlouf, accueillant M. Mikati (...). Votre visite aujourd’hui est importante, je dirais presque déterminante et historique (...). De grandes difficultés financières influent sur la qualité de nos services. Elles ne nous empêchent pas d’accomplir nos devoirs humanitaires envers tous les malades sans distinction, conformément aux intentions du fondateur, mais nous accomplissons notre devoir dans l’espoir que l’État accomplira le sien. »
En réponse, le Premier ministre s’est engagé à faire de son mieux pour répondre aux besoins de l’hôpital, dans les limites des possibilités du Trésor. Il s’est félicité, au passage, de l’excellence des services rendus par l’hôpital psychiatrique et s’est dit réjoui d’apprendre que les religieuses de La Croix vont fonder un hôpital au Akkar.
« Je peux vous assurer que l’État sera toujours à vos côtés et ne vous fera pas défaut dans les bonnes œuvres que vous accomplissez, qu’elles soient hospitalières ou de bienfaisance », a notamment affirmé le Premier ministre.
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