C’est une réunion extraordinaire qu’a tenue
hier la commission parlementaire de la Santé pour étudier le dossier de
l’hôpital universitaire gouvernemental Rafic Hariri. Celui-ci passe par un
grave problème financier « résultant de l’accumulation des dettes au cours
des six dernières années », comme l’a précisé le président de la
commission Atef Majdalani. Ont pris part notamment à la réunion le ministre de
la Santé, Ali Hassan Khalil, et le PDG de l’hôpital gouvernemental Hariri,
Wassim Wazzan.
La commission parlementaire de la Santé et le ministère de la Santé « se sont entendus sur la nécessité d’assurer la pérennité de cet établissement médical » qui « offre des services qu’aucun autre hôpital ne peut assurer », a poursuivi le Dr Majdalani. Précisant que 80 % des patients de cet établissement sont pris en charge par le ministère de la Santé, le Dr Majdalani a constaté qu’il faudrait trouver un moyen « différent » de traiter avec cet « hôpital universitaire ». « À l’instar de tous les hôpitaux universitaires, cet hôpital est déficitaire, a-t-il noté. Ce déficit est annuel. »
Il a souligné qu’une solution partielle sera mise en application dès la semaine en cours « pour permettre à l’hôpital de continuer à assurer les services ». Elle consiste à assurer « le minimum des besoins de l’hôpital, des salaires et des dûs aux fournisseurs ».
Et le Dr Majdalani de conclure en affirmant qu’il y a une volonté de garder cet hôpital fonctionnel.
La commission parlementaire de la Santé et le ministère de la Santé « se sont entendus sur la nécessité d’assurer la pérennité de cet établissement médical » qui « offre des services qu’aucun autre hôpital ne peut assurer », a poursuivi le Dr Majdalani. Précisant que 80 % des patients de cet établissement sont pris en charge par le ministère de la Santé, le Dr Majdalani a constaté qu’il faudrait trouver un moyen « différent » de traiter avec cet « hôpital universitaire ». « À l’instar de tous les hôpitaux universitaires, cet hôpital est déficitaire, a-t-il noté. Ce déficit est annuel. »
Il a souligné qu’une solution partielle sera mise en application dès la semaine en cours « pour permettre à l’hôpital de continuer à assurer les services ». Elle consiste à assurer « le minimum des besoins de l’hôpital, des salaires et des dûs aux fournisseurs ».
Et le Dr Majdalani de conclure en affirmant qu’il y a une volonté de garder cet hôpital fonctionnel.
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