Le faux plafond de la salle de photocopie de
la Cour de Tyr s’est effondré, hier durant la journée, provoquant des dommages
à l’appareillage et jonchant la salle de gravats.
La cour occupe le premier étage d’un immeuble qui en comprend deux, et qui relève des wakfs de la communauté grecque-catholique. Le second étage abrite les bureaux administratifs locaux des finances et de la direction de l’urbanisme.
L’effondrement du faux plafond et de gravats trahit la vétusté de l’édifice et son mauvais entretien.
L’effondrement du faux plafond a créé un bref mouvement de panique parmi les fonctionnaires présents, qui redoutent dorénavant des accidents plus sérieux. Des lézardes plus grandes que d’ordinaire sont en effet observées dans ses murs.
Libération des frères Saadé
Sur un autre plan, on apprenait hier que les deux frères Claude et Michel Saadé, propriétaires de l’édifice qui s’est effondré, il y a quelques semaines, à Fassouh (Achrafieh), faisant 27 morts, ont été libérés sous caution financière de 50 000 dollars chacun.
Les deux hommes soutiennent toujours que les fondations de l’immeuble avaient été fragilisés par les travaux d’excavation de l’édifice qui le jouxtait, ainsi que par des étages supplémentaires que ses anciens propriétaires avaient obtenus licence de construire.
La cour occupe le premier étage d’un immeuble qui en comprend deux, et qui relève des wakfs de la communauté grecque-catholique. Le second étage abrite les bureaux administratifs locaux des finances et de la direction de l’urbanisme.
L’effondrement du faux plafond et de gravats trahit la vétusté de l’édifice et son mauvais entretien.
L’effondrement du faux plafond a créé un bref mouvement de panique parmi les fonctionnaires présents, qui redoutent dorénavant des accidents plus sérieux. Des lézardes plus grandes que d’ordinaire sont en effet observées dans ses murs.
Libération des frères Saadé
Sur un autre plan, on apprenait hier que les deux frères Claude et Michel Saadé, propriétaires de l’édifice qui s’est effondré, il y a quelques semaines, à Fassouh (Achrafieh), faisant 27 morts, ont été libérés sous caution financière de 50 000 dollars chacun.
Les deux hommes soutiennent toujours que les fondations de l’immeuble avaient été fragilisés par les travaux d’excavation de l’édifice qui le jouxtait, ainsi que par des étages supplémentaires que ses anciens propriétaires avaient obtenus licence de construire.
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