Quelque trente ressortissants soudanais bloquent depuis
mercredi matin l’entrée des bureaux du Haut-Commissariat des Nations unies pour
les réfugiés (HCR), à Jnah.
« Les ressortissants observent des sit-in depuis six semaines, en signe de mécontentement à la réponse du HCR à leurs revendications qu’ils avaient soumis » à l’organisation onusienne « en juin dernier », explique un communiqué du HCR.
Exposant la situation, le HCR indique que « depuis le début des manifestations, des représentants de l’organisation et une équipe spécialisée ont rencontré à diverses occasions les protestataires, soit individuellement, soit en groupe pour les informer sur ce qui peut ou ne peut pas être fait ». « Des lettres individuelles leur ont été aussi soumises », ajoute-t-on dans le texte, assurant que « le HCR sympathise avec les protestataires, d’autant que les pays d’accueil adoptent des procédures parfois longues ».
« Malheureusement, la manifestation a commencé à entraver l’assistance régulière aux protestataires et autres personnes susceptibles de bénéficier de l’aide du HCR ».
« Le recours à l’escalade, c’est-à-dire le fait d’interdire à l’équipe du HCR d’entrer et de sortir librement au siège de l’organisation constitue également une source d’inquiétude », souligne-t-on dans le communiqué.
Et le HCR de réitérer son « engagement à aider, protéger et identifier des solutions durables aux réfugiés qu’ils retournent chez eux ou qu’ils maintiennent leur manifestation ».
« Les ressortissants observent des sit-in depuis six semaines, en signe de mécontentement à la réponse du HCR à leurs revendications qu’ils avaient soumis » à l’organisation onusienne « en juin dernier », explique un communiqué du HCR.
Exposant la situation, le HCR indique que « depuis le début des manifestations, des représentants de l’organisation et une équipe spécialisée ont rencontré à diverses occasions les protestataires, soit individuellement, soit en groupe pour les informer sur ce qui peut ou ne peut pas être fait ». « Des lettres individuelles leur ont été aussi soumises », ajoute-t-on dans le texte, assurant que « le HCR sympathise avec les protestataires, d’autant que les pays d’accueil adoptent des procédures parfois longues ».
« Malheureusement, la manifestation a commencé à entraver l’assistance régulière aux protestataires et autres personnes susceptibles de bénéficier de l’aide du HCR ».
« Le recours à l’escalade, c’est-à-dire le fait d’interdire à l’équipe du HCR d’entrer et de sortir librement au siège de l’organisation constitue également une source d’inquiétude », souligne-t-on dans le communiqué.
Et le HCR de réitérer son « engagement à aider, protéger et identifier des solutions durables aux réfugiés qu’ils retournent chez eux ou qu’ils maintiennent leur manifestation ».
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