Le feuilleton des journaliers d’Électricité du Liban
(EDL) se poursuit dans l’ensemble du pays avec son lot de grèves, de
communiqués, de blocage de locaux, de fermeture de routes.
Hier donc, les journaliers de l’EDL ont bloqué l’accès des abonnés aux guichets de l’institution située à la corniche du Fleuve, à Beyrouth. Ils ont mis le feu à des poubelles devant le siège de l’institution et empêché les fonctionnaires de sortir les véhicules et équipements du siège principal.
Dans un communiqué, les journaliers ont annoncé qu’ils « n’abandonneront ni leur institution ni leurs droits ». Tout en soulignant qu’il est hors de question qu’ils soient tenus pour responsables des coupures de courant qui empoisonnent le quotidien du citoyen. Ils ont renouvelé, après 80 jours de sit-in et de grève pacifique dans les locaux de l’institution et dans l’ensemble du pays, leur volonté de poursuivre leur activité professionnelle au sein de l’EDL. « Une institution pour laquelle nous nous sommes donné corps et âme », a souligné le communiqué.
Le mouvement des journaliers s’est également poursuivi dans les régions, notamment à Nabatiyé et à Baalbeck, empêchant les fonctionnaires cadrés de vaquer à leurs occupations professionnelles et les techniciens de réparer les pannes. Observant leur sit-in dans les locaux de l’institution, les journaliers de Nabatiyé ont fait part de leur volonté d’escalade, demandant à être cadrés et à percevoir la totalité de leurs salaires. Leur porte-parole, Mahmoud Ibrahim, a indiqué mettre tous ses espoirs dans les efforts du président du Parlement, Nabih Berry, pour faire aboutir leurs revendications. À Baalbeck, les journaliers ont carrément bloqué la route principale, à Douriss, à l’entrée sud de la ville, au moyen de blocs de fer et de pneus brûlés. Outre leur demande d’être cadrés, ils ont protesté contre le non-paiement de leurs salaires.
Mais selon une source proche de l’institution, « la totalité des percepteurs qui ont remis à l’institution les factures et l’argent récolté auprès des contribuables ont encaissé leurs salaires ». De plus, précise la même source, les journaliers qui travaillent à la demande ne seraient plus employés de l’EDL, sur base du contrat signé entre l’institution et les entreprises privées, suite à une décision du Conseil des ministres.
Hier donc, les journaliers de l’EDL ont bloqué l’accès des abonnés aux guichets de l’institution située à la corniche du Fleuve, à Beyrouth. Ils ont mis le feu à des poubelles devant le siège de l’institution et empêché les fonctionnaires de sortir les véhicules et équipements du siège principal.
Dans un communiqué, les journaliers ont annoncé qu’ils « n’abandonneront ni leur institution ni leurs droits ». Tout en soulignant qu’il est hors de question qu’ils soient tenus pour responsables des coupures de courant qui empoisonnent le quotidien du citoyen. Ils ont renouvelé, après 80 jours de sit-in et de grève pacifique dans les locaux de l’institution et dans l’ensemble du pays, leur volonté de poursuivre leur activité professionnelle au sein de l’EDL. « Une institution pour laquelle nous nous sommes donné corps et âme », a souligné le communiqué.
Le mouvement des journaliers s’est également poursuivi dans les régions, notamment à Nabatiyé et à Baalbeck, empêchant les fonctionnaires cadrés de vaquer à leurs occupations professionnelles et les techniciens de réparer les pannes. Observant leur sit-in dans les locaux de l’institution, les journaliers de Nabatiyé ont fait part de leur volonté d’escalade, demandant à être cadrés et à percevoir la totalité de leurs salaires. Leur porte-parole, Mahmoud Ibrahim, a indiqué mettre tous ses espoirs dans les efforts du président du Parlement, Nabih Berry, pour faire aboutir leurs revendications. À Baalbeck, les journaliers ont carrément bloqué la route principale, à Douriss, à l’entrée sud de la ville, au moyen de blocs de fer et de pneus brûlés. Outre leur demande d’être cadrés, ils ont protesté contre le non-paiement de leurs salaires.
Mais selon une source proche de l’institution, « la totalité des percepteurs qui ont remis à l’institution les factures et l’argent récolté auprès des contribuables ont encaissé leurs salaires ». De plus, précise la même source, les journaliers qui travaillent à la demande ne seraient plus employés de l’EDL, sur base du contrat signé entre l’institution et les entreprises privées, suite à une décision du Conseil des ministres.
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