La chaîne de télévision qatarie al-Jazira a publié hier
une nouvelle vidéo des onze pèlerins chiites libanais enlevés en Syrie, qui
affirment être en bonne santé. Les ravisseurs y ont joint un communiqué dans
lequel ils annoncent vouloir libérer deux de leurs otages, sans préciser
lesquels.
Selon le communiqué, les deux seraient « conduits à leurs parents sous la supervision des ulémas salafistes de Tripoli (qui entreprennent, rappelle-t-on, une médiation pour obtenir leur libération) et de Qatar ».
Les ravisseurs réclament de nouveau dans le texte des excuses publiques du secrétaire général du Hezbollah, sayyed Hassan Nasrallah, à qui ils reprochent vivement d’avoir défendu le président syrien Bachar el-Assad.
Citant des sources proches de Baabda, la LBCI a indiqué en soirée que le président Michel Sleiman a fait savoir aux autorités turques, également engagées dans une médiation et avec qui il a soulevé le dossier des chiites enlevés en Syrie, que le Liban refuse un règlement partiel de cette affaire et qu’il souhaite obtenir la libération de tous les otages et non pas deux seulement.
Au niveau officiel, la libération de deux pèlerins n’a pas été confirmée. Les deux ministères turc et libanais des Affaires étrangères ont affirmé ne pas avoir obtenu des informations officielles à ce sujet. Citant un porte-parole du ministère turc, la télévision al-Jadeed a indiqué que si les otages doivent être libérés, ce sera à travers des ONG et non pas à travers les canaux officiels. Mais, selon la même source, le Liban sera officiellement notifié d’une éventuelle relaxe.
Selon le communiqué, les deux seraient « conduits à leurs parents sous la supervision des ulémas salafistes de Tripoli (qui entreprennent, rappelle-t-on, une médiation pour obtenir leur libération) et de Qatar ».
Les ravisseurs réclament de nouveau dans le texte des excuses publiques du secrétaire général du Hezbollah, sayyed Hassan Nasrallah, à qui ils reprochent vivement d’avoir défendu le président syrien Bachar el-Assad.
Citant des sources proches de Baabda, la LBCI a indiqué en soirée que le président Michel Sleiman a fait savoir aux autorités turques, également engagées dans une médiation et avec qui il a soulevé le dossier des chiites enlevés en Syrie, que le Liban refuse un règlement partiel de cette affaire et qu’il souhaite obtenir la libération de tous les otages et non pas deux seulement.
Au niveau officiel, la libération de deux pèlerins n’a pas été confirmée. Les deux ministères turc et libanais des Affaires étrangères ont affirmé ne pas avoir obtenu des informations officielles à ce sujet. Citant un porte-parole du ministère turc, la télévision al-Jadeed a indiqué que si les otages doivent être libérés, ce sera à travers des ONG et non pas à travers les canaux officiels. Mais, selon la même source, le Liban sera officiellement notifié d’une éventuelle relaxe.

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