Une délégation de la sous-commission des droits de l'homme au Parlement européen est en visite depuis mercredi à Beyrouth pour discuter avec des députés, des représentants de la société civile et des partenaires de l'Union européenne de la situation politique et sécuritaire au Liban et du dossier des réfugiés syriens. Cette délégation qui relève du groupe de l'Alliance progressiste des socialistes et démocrates s'est réunie hier avec le président de la commission parlementaire des droits de l'homme, Michel Moussa.
Dans une déclaration à la presse, M. Moussa a souligné que le dossier des réfugiés et le lourd poids assumé dans ce cadre par le Liban figuraient au premier plan des discussions. « Nous avons mis l'accent sur deux points, le respect des droits et de la dignité des réfugiés syriens, d'une part, et, d'autre part, la capacité (limitée) du Liban à accueillir autant de personnes, notamment pour ce qui est de l'aspect sécuritaire de la question », a-t-il dit. « Nous avons appelé la délégation à nous aider et cela en œuvrant pour trouver une solution politique à la crise syrienne. Cela constitue le seul moyen de régler le dossier des réfugiés », a-t-il affirmé.
« La délégation parlementaire européenne s'est notamment penchée sur ce dossier à partir de deux angles : les droits de l'homme et la sécurité. Nous avons assuré que le Liban tient à préserver la dignité des réfugiés et que les services de sécurité du pays veillent au démantèlement des réseaux terroristes et que malgré la crise économique et sociale que traverse le pays il est impossible – grâce au travail effectué par les forces de sécurité à la frontière – aux réfugiés syriens de quitter (illégalement) le Liban pour se rendre en Europe », a affirmé M. Moussa. Et d'ajouter qu'en « contrepartie, le Liban a besoin d'une aide sérieuse et efficace de la communauté internationale. Elle devrait lui prêter main forte pour qu'il puisse assumer le dossier des réfugiés ».
Les députés européens présents au Liban depuis mercredi dernier et qui devraient quitter aujourd'hui le Liban sont Enrique Guerrero Salom, Elena Valenciano, Pier Antonio Panzeri et Joseph Weidenhozer.
Dans une déclaration à la presse, M. Moussa a souligné que le dossier des réfugiés et le lourd poids assumé dans ce cadre par le Liban figuraient au premier plan des discussions. « Nous avons mis l'accent sur deux points, le respect des droits et de la dignité des réfugiés syriens, d'une part, et, d'autre part, la capacité (limitée) du Liban à accueillir autant de personnes, notamment pour ce qui est de l'aspect sécuritaire de la question », a-t-il dit. « Nous avons appelé la délégation à nous aider et cela en œuvrant pour trouver une solution politique à la crise syrienne. Cela constitue le seul moyen de régler le dossier des réfugiés », a-t-il affirmé.
« La délégation parlementaire européenne s'est notamment penchée sur ce dossier à partir de deux angles : les droits de l'homme et la sécurité. Nous avons assuré que le Liban tient à préserver la dignité des réfugiés et que les services de sécurité du pays veillent au démantèlement des réseaux terroristes et que malgré la crise économique et sociale que traverse le pays il est impossible – grâce au travail effectué par les forces de sécurité à la frontière – aux réfugiés syriens de quitter (illégalement) le Liban pour se rendre en Europe », a affirmé M. Moussa. Et d'ajouter qu'en « contrepartie, le Liban a besoin d'une aide sérieuse et efficace de la communauté internationale. Elle devrait lui prêter main forte pour qu'il puisse assumer le dossier des réfugiés ».
Les députés européens présents au Liban depuis mercredi dernier et qui devraient quitter aujourd'hui le Liban sont Enrique Guerrero Salom, Elena Valenciano, Pier Antonio Panzeri et Joseph Weidenhozer.
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