Le ministre de la Justice, Chakib Cortbaoui, a souligné qu’il n’a pas reçu de message des Nations unies à travers le ministère des Affaires étrangères concernant la demande de financement du Tribunal spécial pour le Liban (TSL).
« Au Liban, le dossier du TSL est politisé loin de la justice », a-t-il dit, souhaitant qu’un « accord au sein du gouvernement soit trouvé sur cette question ». « Quand ce dossier sera traité en Conseil des ministres, tout se verra au grand jour car il n’y aura pas d’accord sous la table, et le gouvernement dans son ensemble prendra la décision », a-t-il ajouté.
En attendant, la cacophonie ministérielle persiste. Le ministre de l’Intérieur, Marwan Charbel, a ainsi affirmé, sur la chaîne MTV, qu’il « soutient » le financement du TSL pour « éviter que le Liban n’en paye le prix ». De son côté, l’ancien ministre Marada Youssef Saadé, également sur la MTV, a refusé catégoriquement que le Liban contribue au financement d’une instance « politisée ».
On attend toujours une position officielle à ce sujet du Hezbollah, mais les sources proches du parti de Dieu assurent qu’il est « impossible » que ce dernier accepte que le gouvernement finance une instance qui le vise directement, et cela est « non négociable ».
Enfin, le chef du PSP, Walid Joumblatt, a remis à la fin du mois l’annonce de sa position définitive à ce sujet. Il en a fait part au cours d’une cérémonie du PSP tenue hier à Choueifat.
De son côté, le député Simon Abiramia a critiqué le TSL, le qualifiant « d’inconstitutionnel ». « C’est un outil créé pour asséner un coup au Hezbollah », a-t-il indiqué. Il a aussi noté que « c’est au gouvernement de décider du financement du TSL », estimant que « l’argent que le Liban doit verser au tribunal peut régler tous les problèmes dont souffre la justice libanaise ».
En attendant, la cacophonie ministérielle persiste. Le ministre de l’Intérieur, Marwan Charbel, a ainsi affirmé, sur la chaîne MTV, qu’il « soutient » le financement du TSL pour « éviter que le Liban n’en paye le prix ». De son côté, l’ancien ministre Marada Youssef Saadé, également sur la MTV, a refusé catégoriquement que le Liban contribue au financement d’une instance « politisée ».
On attend toujours une position officielle à ce sujet du Hezbollah, mais les sources proches du parti de Dieu assurent qu’il est « impossible » que ce dernier accepte que le gouvernement finance une instance qui le vise directement, et cela est « non négociable ».
Enfin, le chef du PSP, Walid Joumblatt, a remis à la fin du mois l’annonce de sa position définitive à ce sujet. Il en a fait part au cours d’une cérémonie du PSP tenue hier à Choueifat.
De son côté, le député Simon Abiramia a critiqué le TSL, le qualifiant « d’inconstitutionnel ». « C’est un outil créé pour asséner un coup au Hezbollah », a-t-il indiqué. Il a aussi noté que « c’est au gouvernement de décider du financement du TSL », estimant que « l’argent que le Liban doit verser au tribunal peut régler tous les problèmes dont souffre la justice libanaise ».
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