Une audience s'est ouverte vendredi devant le Tribunal spécial pour le Liban (TSL) durant laquelle l'accusation et le bureau de la défense devaient donner leur position sur un éventuel procès en l'absence des auteurs présumés de l'assassinat de l'ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri.
"La première décision de la chambre va être rendue", a déclaré le président Robert Roth, en ordonnant qu'un représentant de la section de participation des victimes du TSL puisse prendre part à l'audience qui s'est ouverte peu après 09H30 (08H30 GMT) à Leidschendam, près de La Haye.
Le bureau du procureur devait s'exprimer en premier avant de laisser la parole au bureau de la défense, les juges ayant la possibilité de poser des questions aux parties tout au long de l'audience.
Le TSL est chargé de juger les responsables de l'attentat à la camionnette piégée lors duquel l'ancien Premier ministre libanais, Rafic Hariri, avait été tué le 14 février 2005 à Beyrouth, aux côtés de 22 autres personnes, y compris l'auteur de l'attentat suicide.
Selon l'accusation, quatre membres du Hezbollah sont impliqués dans cet attentat. Ils font l'objet de mandats d'arrêt du TSL transmis le 30 juin aux autorités libanaises et de notices rouges d'Interpol.
Le TSL, qui a ouvert ses portes le 1er mars 2009, est le premier tribunal pénal international permettant la tenue de procès par défaut, en l'absence des accusés.
"La première décision de la chambre va être rendue", a déclaré le président Robert Roth, en ordonnant qu'un représentant de la section de participation des victimes du TSL puisse prendre part à l'audience qui s'est ouverte peu après 09H30 (08H30 GMT) à Leidschendam, près de La Haye.
Le bureau du procureur devait s'exprimer en premier avant de laisser la parole au bureau de la défense, les juges ayant la possibilité de poser des questions aux parties tout au long de l'audience.
Le TSL est chargé de juger les responsables de l'attentat à la camionnette piégée lors duquel l'ancien Premier ministre libanais, Rafic Hariri, avait été tué le 14 février 2005 à Beyrouth, aux côtés de 22 autres personnes, y compris l'auteur de l'attentat suicide.
Selon l'accusation, quatre membres du Hezbollah sont impliqués dans cet attentat. Ils font l'objet de mandats d'arrêt du TSL transmis le 30 juin aux autorités libanaises et de notices rouges d'Interpol.
Le TSL, qui a ouvert ses portes le 1er mars 2009, est le premier tribunal pénal international permettant la tenue de procès par défaut, en l'absence des accusés.
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