Le tribunal de cassation militaire siégeant sous la présidence d’Alice Chabtini statuera le 20 décembre sur la demande de relaxe du général Fayez Karam, condamné à trois ans de prison pour intelligence avec l’ennemi. Le condamné a plaidé non coupable, affirmant :
« Tout ce qui s’est dit durant ces interrogatoires préliminaires se résume en de pures présomptions des enquêteurs », a-t-il encore affirmé.
Dans les faits, le général Karam a affirmé que durant son interrogatoire, les enquêteurs ont occulté l’affaire des numéros de téléphone suspects – un numéro belge et un autre suisse – qui étaient à la base des accusations lancées contre lui. Un troisième numéro, d’origine belge, a été utilisé une seule fois, pour un contact avec un officier syrien, a-t-il dit.
Les deux autres numéros, a-t-il ajouté, appartenaient à Joe Haddad, un homme que le général Karam avait chargé de lui mettre de l’ordre dans ses affaires financières en France.
Le tribunal de cassation militaire siégeant sous la présidence d’Alice Chabtini statuera le 20 décembre sur la demande de relaxe du général Fayez Karam, condamné à trois ans de prison pour intelligence avec l’ennemi. Le condamné a plaidé non coupable, affirmant : « J’insiste sur mon innocence et je renie tout ce que j’ai affirmé durant mon interrogatoire préliminaire par les agents des services de renseignements des FSI. » Dans les faits, le général Karam a affirmé que durant son interrogatoire, les enquêteurs ont occulté l’affaire des numéros de téléphone suspects – un numéro belge et un autre suisse – qui étaient à la base des accusations lancées contre lui. Un troisième numéro, d’origine belge, a été utilisé une seule fois, pour un contact avec un officier syrien, a-t-il dit.
Les deux autres numéros, a-t-il ajouté, appartenaient à Joe Haddad, un homme que le général Karam avait chargé de lui mettre de l’ordre dans ses affaires financières en France.
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