L'agence des Nations unies pour les réfugiés (HCR) a publié, hier, son rapport hebdomadaire soulignant que « le nombre de réfugiés syriens enregistrés au Liban s'élève à 1 066 500 personnes, alors que 48 400 attendent toujours d'être enregistrés ». Beyrouth et le Mont-Liban accueillent désormais plus de réfugiés que le Liban-Nord. Et c'est actuellement la Békaa qui compte le nombre le plus important de déplacés.
Selon le rapport, de janvier à mai 2014, la moyenne des réfugiés enregistrés chaque mois au Liban s'élevait à 65 000 personnes. Durant ces cinq mois, 248 000 réfugiés syriens ont été enregistrés au Liban, dont 35 % à Beyrouth et au Mont-Liban.
Les femmes, âgées pour la plupart entre 18 et 59 ans, constituent 52 % des réfugiés enregistrés dans le pays alors que 79 % de ces déplacés sont des femmes et des enfants. Près de 70 % des Syriens qui se sont réfugiés au Liban viennent de quatre districts syriens : Homs, Alep, Idleb et Rif el-Cham.
Le HCR a lancé il y a quelques mois une nouvelle technique pour enregistrer les réfugiés, se basant sur la cornée de l'œil pour l'identification des personnes. Cela permet de mieux contrôler les fraudes. Jusqu'au 12 juin, 445 000 réfugiés avaient été enregistrés grâce à cette technique.
De plus, l'organisation onusienne met des bus à la disposition des réfugiés qui ne peuvent pas se déplacer jusqu'à ses bureaux dans les régions libanaises et cela pour aider les plus démunis et les malades.
Selon le rapport, de janvier à mai 2014, la moyenne des réfugiés enregistrés chaque mois au Liban s'élevait à 65 000 personnes. Durant ces cinq mois, 248 000 réfugiés syriens ont été enregistrés au Liban, dont 35 % à Beyrouth et au Mont-Liban.
Les femmes, âgées pour la plupart entre 18 et 59 ans, constituent 52 % des réfugiés enregistrés dans le pays alors que 79 % de ces déplacés sont des femmes et des enfants. Près de 70 % des Syriens qui se sont réfugiés au Liban viennent de quatre districts syriens : Homs, Alep, Idleb et Rif el-Cham.
Le HCR a lancé il y a quelques mois une nouvelle technique pour enregistrer les réfugiés, se basant sur la cornée de l'œil pour l'identification des personnes. Cela permet de mieux contrôler les fraudes. Jusqu'au 12 juin, 445 000 réfugiés avaient été enregistrés grâce à cette technique.
De plus, l'organisation onusienne met des bus à la disposition des réfugiés qui ne peuvent pas se déplacer jusqu'à ses bureaux dans les régions libanaises et cela pour aider les plus démunis et les malades.
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