Deux jours après avoir été interpellés à Damas, les deux journalistes de Reuters dont on était sans nouvelles depuis samedi ont été relâchés hier par les autorités syriennes. La productrice de télévision Ayat Basma et le cameraman Izzat Baltaji, tous deux de nationalité libanaise et basés à Beyrouth, ont regagné le Liban.
« Reuters est préoccupé par l'interpellation de ses journalistes et leur maintien si longtemps au secret. Nous sommes très heureux de leur libération et nous nous réjouissons de revoir Ayat et Izzat », a déclaré Stephen Adler, directeur des rédactions de l'agence Reuters.
« Reuters est préoccupé par l'interpellation de ses journalistes et leur maintien si longtemps au secret. Nous sommes très heureux de leur libération et nous nous réjouissons de revoir Ayat et Izzat », a déclaré Stephen Adler, directeur des rédactions de l'agence Reuters.
Les deux journalistes s'étaient rendus jeudi en Syrie pour couvrir les manifestations hostiles au régime du président Bachar el-Assad, au pouvoir depuis onze ans.
Un responsable syrien a expliqué que les journalistes avaient été interpellés et interrogés parce qu'ils n'avaient pas de permis de travail en Syrie et qu'ils avaient filmé « dans une zone où filmer n'est pas autorisé ».
Les journalistes avaient contacté des collègues pour la dernière fois samedi soir et l'on était sans nouvelles d'eux jusqu'à leur libération, lundi.
Rappelons que les autorités syriennes ont retiré vendredi son accréditation à un correspondant étranger de Reuters basé à Damas en l'accusant d'avoir fourni une couverture « non professionnelle et fausse » des événements en Syrie.
Un responsable syrien a expliqué que les journalistes avaient été interpellés et interrogés parce qu'ils n'avaient pas de permis de travail en Syrie et qu'ils avaient filmé « dans une zone où filmer n'est pas autorisé ».
Les journalistes avaient contacté des collègues pour la dernière fois samedi soir et l'on était sans nouvelles d'eux jusqu'à leur libération, lundi.
Rappelons que les autorités syriennes ont retiré vendredi son accréditation à un correspondant étranger de Reuters basé à Damas en l'accusant d'avoir fourni une couverture « non professionnelle et fausse » des événements en Syrie.
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