Un an après la disparition dans des circonstances
rocambolesques de l’ancien vice-président syrien, Chibli el Assaymi, sa
famille, désormais convaincue que le régime syrien est derrière son rapt, a
tenu à marquer la circonstance en organisant, samedi prochain à Aley, une
rencontre de solidarité avec lui et de soutien à tous les détenus politiques
dans les prisons syriennes.
Dans un communiqué, les proches de M. Assaymi ont tenu à relier sa cause à celle de tous les prisonniers d’opinion dans le monde. « Il s’agit d’une cause humaine universelle », précise le communiqué.
La famille tient d’ailleurs à rappeler que Chibli Assaymi a « passé sa vie durant à défendre les causes de la nation arabe en toute dignité et abnégation. Il a lutté en toute honnêteté et fidélité. Son combat contre l’ennemi israélien n’avait d’égal que celui qu’il menait contre les régimes dictatoriaux arabes et ses oppresseurs. Sa destinée était de ne pas se retrouver au cœur de la révolte populaire syrienne pour laquelle il a œuvré toute sa vie durant », ajoute le texte.
Dans un communiqué, l’ambassadrice des États-Unis, Maura Connelly, qui s’est rendue auprès de la famille, a pointé du doigt le régime l’accusant d’être derrière les disparitions de Syriens. « Les États-Unis expriment leur profonde inquiétude des rapports faisant état de cas de disparition, de détention et de menaces dont sont victimes les Syriens qui se trouvent au Liban », a indiqué Mme Connelly.
Les milieux du 14 Mars ont accusé pour leur part le régime syrien d’être derrière les derniers incidents sécuritaires au Liban.
Dans une allusion à peine voilée au régime baassiste, le député du bloc du Futur, Mohammad Hajjar, a affirmé qu’il y a quelque part un « chef d’orchestre qui fomente les problèmes entre les différentes régions libanaises », soulignant que la raison de la dégradation de la situation au Liban est due au fait que la situation en Syrie est devenue critique.
Même son de cloche chez le député Kataëb, Élie Marouni, qui a exprimé sa crainte de voir le régime syrien transporter sa crise au Liban.
Pour le député FL, Antoine Zahra, les événements qui ont récemment secoué la scène libanaise sont dus à l’échec du gouvernement à tous les niveaux, sous le titre de la politique de distanciation par rapport à la crise syrienne, qui a fini par placer le Liban au bord du gouffre.
Dans un communiqué, les proches de M. Assaymi ont tenu à relier sa cause à celle de tous les prisonniers d’opinion dans le monde. « Il s’agit d’une cause humaine universelle », précise le communiqué.
La famille tient d’ailleurs à rappeler que Chibli Assaymi a « passé sa vie durant à défendre les causes de la nation arabe en toute dignité et abnégation. Il a lutté en toute honnêteté et fidélité. Son combat contre l’ennemi israélien n’avait d’égal que celui qu’il menait contre les régimes dictatoriaux arabes et ses oppresseurs. Sa destinée était de ne pas se retrouver au cœur de la révolte populaire syrienne pour laquelle il a œuvré toute sa vie durant », ajoute le texte.
Dans un communiqué, l’ambassadrice des États-Unis, Maura Connelly, qui s’est rendue auprès de la famille, a pointé du doigt le régime l’accusant d’être derrière les disparitions de Syriens. « Les États-Unis expriment leur profonde inquiétude des rapports faisant état de cas de disparition, de détention et de menaces dont sont victimes les Syriens qui se trouvent au Liban », a indiqué Mme Connelly.
Les milieux du 14 Mars ont accusé pour leur part le régime syrien d’être derrière les derniers incidents sécuritaires au Liban.
Dans une allusion à peine voilée au régime baassiste, le député du bloc du Futur, Mohammad Hajjar, a affirmé qu’il y a quelque part un « chef d’orchestre qui fomente les problèmes entre les différentes régions libanaises », soulignant que la raison de la dégradation de la situation au Liban est due au fait que la situation en Syrie est devenue critique.
Même son de cloche chez le député Kataëb, Élie Marouni, qui a exprimé sa crainte de voir le régime syrien transporter sa crise au Liban.
Pour le député FL, Antoine Zahra, les événements qui ont récemment secoué la scène libanaise sont dus à l’échec du gouvernement à tous les niveaux, sous le titre de la politique de distanciation par rapport à la crise syrienne, qui a fini par placer le Liban au bord du gouffre.
http://www.lorientlejour.com/category/Liban/article/760597/Le_regime_syrien_accuse_du_rapt_de_Assaymi__et_d%27autres_Syriens_enleves_au_Liban.html
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