Dans un entretien exclusif accordé à notre consœur du
Nahar, Houda Chédid, l’ancien chef de la commission d’enquête internationale,
Nick Kaldas, a affirmé que l’acte d’accusation paru dans l’affaire de
l’assassinat de Rafic Hariri n’est pas uniquement fondé sur des preuves liées
au réseau de télécoms.
« Il y a bien plus que des preuves de télécommunications. Il y a d’autres preuves qui sont bien structurées et solides. Certaines sont circonstancielles et d’autres tangibles et concrètes », a indiqué l’enquêteur, qui a rejoint, depuis, son poste de vice-commissaire de la police de New South Wales, en Australie.
À ce propos, l’enquêteur a en outre assuré que l’accusation dispose également de témoins, s’abstenant d’en dire davantage à leur propos.
Nick Kaldas, qui est resté au Liban trois mois en tout en tant que chef des enquêteurs au sein de la commission internationale, a évoqué les erreurs qui se sont produites avant son arrivée.
« Les enquêteurs ont commis plusieurs erreurs durant les quatre premières années avant mon arrivée », a-t-il dit, en citant l’arrestation des quatre généraux, dont il a fini par conseiller la libération, faute de preuves les incriminant.
Selon lui, même si les quatre accusés du Hezbollah cités par l’acte d’accusation ne sont pas arrêtés, le procès prendra son cours et justice sera rendue.
Démentant toutes les accusations dirigées contre lui par Hassan Nasrallah, le secrétaire général du Hezbollah, M. Kaldas a affirmé que les propos du dignitaire chiite ne sont autres que de la diffamation à son égard et sont infondés.
« Je n’ai jamais travaillé pour Israël de même que je n’ai jamais été un agent de la CIA », a affirmé l’ancien chef des enquêteurs qui ajoute que le Hezbollah n’a aucune preuve pour étayer ses accusations. Et de conseiller enfin au parti chiite d’accepter les résultats de l’enquête, et par la suite, du procès et de laisser la justice suivre son cours.
« Il y a bien plus que des preuves de télécommunications. Il y a d’autres preuves qui sont bien structurées et solides. Certaines sont circonstancielles et d’autres tangibles et concrètes », a indiqué l’enquêteur, qui a rejoint, depuis, son poste de vice-commissaire de la police de New South Wales, en Australie.
À ce propos, l’enquêteur a en outre assuré que l’accusation dispose également de témoins, s’abstenant d’en dire davantage à leur propos.
Nick Kaldas, qui est resté au Liban trois mois en tout en tant que chef des enquêteurs au sein de la commission internationale, a évoqué les erreurs qui se sont produites avant son arrivée.
« Les enquêteurs ont commis plusieurs erreurs durant les quatre premières années avant mon arrivée », a-t-il dit, en citant l’arrestation des quatre généraux, dont il a fini par conseiller la libération, faute de preuves les incriminant.
Selon lui, même si les quatre accusés du Hezbollah cités par l’acte d’accusation ne sont pas arrêtés, le procès prendra son cours et justice sera rendue.
Démentant toutes les accusations dirigées contre lui par Hassan Nasrallah, le secrétaire général du Hezbollah, M. Kaldas a affirmé que les propos du dignitaire chiite ne sont autres que de la diffamation à son égard et sont infondés.
« Je n’ai jamais travaillé pour Israël de même que je n’ai jamais été un agent de la CIA », a affirmé l’ancien chef des enquêteurs qui ajoute que le Hezbollah n’a aucune preuve pour étayer ses accusations. Et de conseiller enfin au parti chiite d’accepter les résultats de l’enquête, et par la suite, du procès et de laisser la justice suivre son cours.
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