L’association Journalistes contre la violence a condamné
dans un communiqué la « campagne organisée » de violence morale et
psychologique menée contre le journaliste, écrivain et militant Béchara
Khaïrallah. Ce dernier a été ces derniers jours la cible de menaces et
d’insultes sur sa page Facebook « de la part de groupes affiliés à une
partie politique qui rejette la diversité et le pluralisme, et qui insiste à
vouloir écraser tous ceux qui ne sont pas d’accord avec elle », indique
l’association.
De sources bien informées, la campagne serait menée par des groupes gravitant dans l’orbite du Courant patriotique libre.
Journalistes contre la violence a appelé la justice à considérer son communiqué comme une notification au parquet, réclamant des poursuites contre « ces personnes qui n’hésitent pas à utiliser les réseaux sociaux pour menacer, insulter et porter atteinte à la dignité des gens ». L’association a également appelé le corps médiatique à « se solidariser et à rejeter ce genre de pratiques pour soutenir la liberté d’expression et d’opinion ». « Ce genre de pratiques peuvent mener, si elles ne sont pas contenues, à des actes violents qui menaceraient les libertés publiques et la liberté d’expression. D’autant que certains de ceux qui se sont livrés à cette campagne ont déjà des précédents avec la justice », note-t-elle. Journalistes contre la violence a par ailleurs fait assumer la responsabilité aux initiateurs de la campagne de toute atteinte dont ferait l’objet M. Khaïrallah.
Signalons également que le Conseil mondial de la révolution du Cèdre a publié un communiqué condamnant la campagne contre M. Khaïrallah.
De sources bien informées, la campagne serait menée par des groupes gravitant dans l’orbite du Courant patriotique libre.
Journalistes contre la violence a appelé la justice à considérer son communiqué comme une notification au parquet, réclamant des poursuites contre « ces personnes qui n’hésitent pas à utiliser les réseaux sociaux pour menacer, insulter et porter atteinte à la dignité des gens ». L’association a également appelé le corps médiatique à « se solidariser et à rejeter ce genre de pratiques pour soutenir la liberté d’expression et d’opinion ». « Ce genre de pratiques peuvent mener, si elles ne sont pas contenues, à des actes violents qui menaceraient les libertés publiques et la liberté d’expression. D’autant que certains de ceux qui se sont livrés à cette campagne ont déjà des précédents avec la justice », note-t-elle. Journalistes contre la violence a par ailleurs fait assumer la responsabilité aux initiateurs de la campagne de toute atteinte dont ferait l’objet M. Khaïrallah.
Signalons également que le Conseil mondial de la révolution du Cèdre a publié un communiqué condamnant la campagne contre M. Khaïrallah.
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