Des membres de la famille Ibrahim ont bloqué hier la
route internationale menant vers la Syrie au niveau de Abboudiyé, dans le
Akkar, pour protester contre l’enlèvement de Mohammad Mahmoud Ibrahim, qui a
été mené jusqu’à la frontière syrienne où il a disparu. La famille Ibrahim a
souligné qu’elle adoptera des mesures d’escalade si Mohammad n’est pas relâché,
appelant les autorités libanaises à agir et à protéger les habitants du Akkar
des agressions continues des Syriens et à mettre un terme aux violations de la
frontière par les troupes de Damas.
Toujours dans le Akkar, mais de l’autre côté de la frontière, sur la rive du Nahr el-Kébir au niveau du village syrien de Mchairfé, une mine anti-personnel a explosé blessant Alaa Kojak, un ressortissant syrien qui a été transporté à moto en territoire libanais. Il a été ensuite transféré par la Croix-Rouge à l’hôpital Notre-Dame de la Paix, à Kobeyate.
Par ailleurs, Chant Jinjian, député de Zahlé, a appelé le gouvernement, lors d’une interview qu’il a donnée à la VDL, à œuvrer pour un meilleur contrôle de la frontière afin d’éviter les incidents qui coûtent la vie à des Libanais innocents. Il a rappelé, dans ce cadre,la mort des deux femmes libanaises tuées mercredi à Qaa par des tirs à partir de la Syrie.
« Si nous avions procédé à un tracé des frontières, nous n’en serions pas arrivés là. Mais il n’est jamais trop tard pour que le gouvernement agisse », a-t-il souligné en conclusion.
Toujours dans le Akkar, mais de l’autre côté de la frontière, sur la rive du Nahr el-Kébir au niveau du village syrien de Mchairfé, une mine anti-personnel a explosé blessant Alaa Kojak, un ressortissant syrien qui a été transporté à moto en territoire libanais. Il a été ensuite transféré par la Croix-Rouge à l’hôpital Notre-Dame de la Paix, à Kobeyate.
Par ailleurs, Chant Jinjian, député de Zahlé, a appelé le gouvernement, lors d’une interview qu’il a donnée à la VDL, à œuvrer pour un meilleur contrôle de la frontière afin d’éviter les incidents qui coûtent la vie à des Libanais innocents. Il a rappelé, dans ce cadre,la mort des deux femmes libanaises tuées mercredi à Qaa par des tirs à partir de la Syrie.
« Si nous avions procédé à un tracé des frontières, nous n’en serions pas arrivés là. Mais il n’est jamais trop tard pour que le gouvernement agisse », a-t-il souligné en conclusion.

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