Quelle est cette manie de peindre systématiquement les
montagnes vertes en brun ? Les remblais des chantiers finissent
systématiquement dans les vallées. Sur cette photo, on constate que c’est la
vallée paradisiaque de Nahr Ibrahim qui en est désormais affectée.
Ces remblais sont un acte criminel à plus d’un titre : d’une part, les dégâts qu’ils occasionnent sont quasi irréversibles puisqu’il est très difficile de les retirer de là. D’autre part, ils étouffent la végétation sur laquelle ils ont été déversés. Enfin, ce sont de véritables cicatrices dans le paysage.
Il ne devrait pourtant pas être impossible de connaître l’identité de ceux qui déversent ces tonnes de sable dans la nature. Il n’y a qu’à recenser les chantiers en activité dans les alentours. Mais ces remblais chaotiques ne sont qu’un exemple parmi d’autres que la volonté politique de protéger les espaces verts manque cruellement.
Ces remblais sont un acte criminel à plus d’un titre : d’une part, les dégâts qu’ils occasionnent sont quasi irréversibles puisqu’il est très difficile de les retirer de là. D’autre part, ils étouffent la végétation sur laquelle ils ont été déversés. Enfin, ce sont de véritables cicatrices dans le paysage.
Il ne devrait pourtant pas être impossible de connaître l’identité de ceux qui déversent ces tonnes de sable dans la nature. Il n’y a qu’à recenser les chantiers en activité dans les alentours. Mais ces remblais chaotiques ne sont qu’un exemple parmi d’autres que la volonté politique de protéger les espaces verts manque cruellement.
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