Un combattant palestinien a été tué, hier, à Nahr
el-Bared, dans des affrontements avec des militaires libanais. Ces
affrontements se sont transposés en soirée à Aïn el-Héloué, où l’on a déploré
des blessés. Alarmée, le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas,
a pris contact avec le président Michel Sleiman, pour lui assurer à nouveau de
la volonté des Palestiniens du Liban de respecter l’autorité de l’État.
Les incidents ont commencé à Nahr el-Bared, où un Palestinien a été tué par balle et sept autres blessés dans des heurts avec l’armée survenus après les funérailles d’un jeune tué vendredi, à la suite d’un contrôle militaire ayant dégénéré.
L’armée a ouvert le feu après avoir tenté de désamorcer l’escalade, sur ordre personnel du général Jean Kahwagi, a expliqué un communiqué.
Toutefois, des groupes de Palestiniens en armes, « lésés ou infiltrés », selon le communiqué de l’armée, ont jeté des pierres et des cocktails Molotov en direction d’un des postes de l’armée, à l’entrée du camp, incendiant une voiture militaire et blessant trois soldats.
Des combattants ayant cherché à prendre de force le contrôle du poste, l’armée n’a plus eu d’autre choix que de défendre sa position. Selon le communiqué, l’armée a d’abord utilisé des bombes fumigènes et des balles en caoutchouc, avant de recourir aux grands moyens.
Le communiqué a enjoint aux Palestiniens armés « de ne pas se laisser exploiter politiquement par telle ou telle partie » et de respecter les accords conclus entre leurs leaders et le commandement de l’armée.
En soirée, des heurts similaires ont opposé l’armée à de jeunes combattants palestiniens qui ont attaqué un poste de l’armée à coups de pierre, s’attirant une réponse armée. Les heurts ont fait des blessés. Toutefois, une source de sécurité a démenti que ces tirs aient fait un mort.
Les incidents ont commencé à Nahr el-Bared, où un Palestinien a été tué par balle et sept autres blessés dans des heurts avec l’armée survenus après les funérailles d’un jeune tué vendredi, à la suite d’un contrôle militaire ayant dégénéré.
L’armée a ouvert le feu après avoir tenté de désamorcer l’escalade, sur ordre personnel du général Jean Kahwagi, a expliqué un communiqué.
Toutefois, des groupes de Palestiniens en armes, « lésés ou infiltrés », selon le communiqué de l’armée, ont jeté des pierres et des cocktails Molotov en direction d’un des postes de l’armée, à l’entrée du camp, incendiant une voiture militaire et blessant trois soldats.
Des combattants ayant cherché à prendre de force le contrôle du poste, l’armée n’a plus eu d’autre choix que de défendre sa position. Selon le communiqué, l’armée a d’abord utilisé des bombes fumigènes et des balles en caoutchouc, avant de recourir aux grands moyens.
Le communiqué a enjoint aux Palestiniens armés « de ne pas se laisser exploiter politiquement par telle ou telle partie » et de respecter les accords conclus entre leurs leaders et le commandement de l’armée.
En soirée, des heurts similaires ont opposé l’armée à de jeunes combattants palestiniens qui ont attaqué un poste de l’armée à coups de pierre, s’attirant une réponse armée. Les heurts ont fait des blessés. Toutefois, une source de sécurité a démenti que ces tirs aient fait un mort.
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