Sur instruction de la chambre d’accusation du Mont-Liban,
le Dr Moussa Abou Hamad, arrêté le 9 juin pour négligence médicale, suite au
décès de sa patiente, Rita Gebrayel, a été libéré hier.
Par ailleurs, et suite à l’incident qui a opposé lundi le président de l’ordre des journalistes, Élias Aoun, à certains médecins qui lui avaient interdit la parole lors du sit-in de solidarité avec le Dr Abou Hamad, le président de l’ordre des médecins, Charaf Abou Charaf, s’est rendu lundi soir chez M. Aoun pour lui présenter des « excuses », précise l’ordre des journalistes dans un communiqué.
À l’issue de l’entretien, le Dr Abou Charaf a indiqué que « ce qui s’est passé à la Maison du médecin ne me fait pas honneur et ne fait pas honneur à l’ordre des médecins ».
« Malheureusement, je ne connais pas un grand nombre des personnes présentes qui s’en sont prises à M. Aoun », a-t-il ajouté, expliquant qu’« elles auraient pu s’infiltrer parmi les grévistes pour nuire à l’aspect civilisé de la rencontre ».
De son côté, M. Aoun a assuré que « l’incident de la Maison du médecin est une affaire passée », remerciant tous ceux qui l’ont dénoncé. Il a en outre souligné que l’épisode de l’ordre des médecins « n’est pas une atteinte personnelle », mais « une atteinte à tous les journalistes qui sont la voix du peuple et des personnes victimes d’injustice ».
Par ailleurs, et suite à l’incident qui a opposé lundi le président de l’ordre des journalistes, Élias Aoun, à certains médecins qui lui avaient interdit la parole lors du sit-in de solidarité avec le Dr Abou Hamad, le président de l’ordre des médecins, Charaf Abou Charaf, s’est rendu lundi soir chez M. Aoun pour lui présenter des « excuses », précise l’ordre des journalistes dans un communiqué.
À l’issue de l’entretien, le Dr Abou Charaf a indiqué que « ce qui s’est passé à la Maison du médecin ne me fait pas honneur et ne fait pas honneur à l’ordre des médecins ».
« Malheureusement, je ne connais pas un grand nombre des personnes présentes qui s’en sont prises à M. Aoun », a-t-il ajouté, expliquant qu’« elles auraient pu s’infiltrer parmi les grévistes pour nuire à l’aspect civilisé de la rencontre ».
De son côté, M. Aoun a assuré que « l’incident de la Maison du médecin est une affaire passée », remerciant tous ceux qui l’ont dénoncé. Il a en outre souligné que l’épisode de l’ordre des médecins « n’est pas une atteinte personnelle », mais « une atteinte à tous les journalistes qui sont la voix du peuple et des personnes victimes d’injustice ».
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