Le coordinateur humanitaire des Nations unies, Robert
Watkins, s’est rendu hier à Ersal. « J’ai eu une excellente réunion avec
le président de la municipalité d’Ersal, Ali Hojeiry, et avec les officiels
locaux », a-t-il dit, indiquant que l’ONU suit de près les développements
dans la région, et plus particulièrement le long de la frontière avec la Syrie.
M. Watkins a estimé que sa visite à la Békaa revêt une importance particulière. Elle vise d’une part à identifier les problèmes des habitants de la région et d’autre part à prendre connaissance des conditions humanitaires des réfugiés syriens qui ont fui les violences dans leur pays. Le coordinateur devait rencontrer des familles de déplacés pour en savoir plus sur leurs conditions de vie et celles des familles qui les hébergent. « Je sais qu’elles traversent des moments difficiles, à l’instar des habitants de la zone frontalière, a-t-il dit. L’ONU s’est toutefois engagée à assister les autorités libanaises pour répondre aux besoins humanitaires de ces personnes. »
Robert Watkins a observé que l’organisation « apprécierait que les autorités autorisent le Haut Comité de secours à opérer sur l’ensemble du territoire libanais, afin d’être plus efficace et de coordonner les réponses aux besoins des populations déplacées et des familles libanaises d’accueil ». Il s’est aussi dit impressionné « par la générosité et l’hospitalité de ces familles libanaises qui ont mis leurs maisons à la disposition des réfugiés syriens, malgré les difficultés socio-économiques ». Le coordonnateur des Nations unies a enfin condamné les incidents à la frontière
libano-syrienne, notamment les enlèvements et les morts, dans certains cas. « Ces incidents montrent la nécessité de la gestion et de la délimitation de la frontière dans la région », a-t-il conclu.
M. Watkins a estimé que sa visite à la Békaa revêt une importance particulière. Elle vise d’une part à identifier les problèmes des habitants de la région et d’autre part à prendre connaissance des conditions humanitaires des réfugiés syriens qui ont fui les violences dans leur pays. Le coordinateur devait rencontrer des familles de déplacés pour en savoir plus sur leurs conditions de vie et celles des familles qui les hébergent. « Je sais qu’elles traversent des moments difficiles, à l’instar des habitants de la zone frontalière, a-t-il dit. L’ONU s’est toutefois engagée à assister les autorités libanaises pour répondre aux besoins humanitaires de ces personnes. »
Robert Watkins a observé que l’organisation « apprécierait que les autorités autorisent le Haut Comité de secours à opérer sur l’ensemble du territoire libanais, afin d’être plus efficace et de coordonner les réponses aux besoins des populations déplacées et des familles libanaises d’accueil ». Il s’est aussi dit impressionné « par la générosité et l’hospitalité de ces familles libanaises qui ont mis leurs maisons à la disposition des réfugiés syriens, malgré les difficultés socio-économiques ». Le coordonnateur des Nations unies a enfin condamné les incidents à la frontière
libano-syrienne, notamment les enlèvements et les morts, dans certains cas. « Ces incidents montrent la nécessité de la gestion et de la délimitation de la frontière dans la région », a-t-il conclu.
http://www.lorientlejour.com/category/Liban/article/763961/Watkins_visite_les_refugies_syriens_a_Ersal.html
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