Le chef de l’État, Michel Sleiman, qui entame aujourd’hui
une tournée régionale, s’inquiète de la multiplication des rapts à la frontière
libano-syrienne.
Le président Michel Sleiman se rendra aujourd’hui en
Arabie saoudite pour une visite officielle d’une journée au cours de laquelle
il sera reçu par le roi Abdallah ben Abdel Aziz, pour des entretiens axés sur
la conjoncture locale et les développements en Syrie.
Riyad sera la première étape d’une tournée régionale que M. Sleiman a décidé d’entreprendre consécutivement à l’avertissement adressé par des pays du Golfe, notamment le Qatar, les Émirats arabes unis, le Koweït et Bahreïn, à leurs ressortissants à qui ils ont demandé de ne pas se rendre au Liban. Le chef de l’État souhaite exposer aux dirigeants de ces États la situation au Liban et les encourager à revenir sur leur décision.
Si l’état de sécurité dans le pays n’inquiète pas les dirigeants libanais, en revanche, la multiplication des incidents à la frontière avec la Syrie sont une véritable source d’inquiétude, notamment pour le président qui les a rejetés et a réclamé l’ouverture d’une enquête des deux côtés, libanais et syrien, « pour empêcher une répétition de ces violations ».
M. Sleiman a en outre demandé aux autorités syriennes de relâcher Mohammad Yassine Merhebi et Mehdi Hamdane, les deux jeunes hommes enlevés mercredi par l’armée syrienne à Abboudieh, en territoire libanais, et conduits de l’autre côté de la frontière. Il a insisté sur « le respect de la souveraineté des deux États qui est dans l’intérêt des deux pays ».
Le chef de l’État a reçu hier à Baabda le directeur de la Sûreté générale, le général Abbas Ibrahim, avec qui il a passé en revue la situation dans le pays au plan de la sécurité. Le général Ibrahim lui a en outre communiqué les informations obtenues au sujet des incidents de sécurité qui s’étaient produits ces derniers jours à la frontière avec la Syrie.
Riyad sera la première étape d’une tournée régionale que M. Sleiman a décidé d’entreprendre consécutivement à l’avertissement adressé par des pays du Golfe, notamment le Qatar, les Émirats arabes unis, le Koweït et Bahreïn, à leurs ressortissants à qui ils ont demandé de ne pas se rendre au Liban. Le chef de l’État souhaite exposer aux dirigeants de ces États la situation au Liban et les encourager à revenir sur leur décision.
Si l’état de sécurité dans le pays n’inquiète pas les dirigeants libanais, en revanche, la multiplication des incidents à la frontière avec la Syrie sont une véritable source d’inquiétude, notamment pour le président qui les a rejetés et a réclamé l’ouverture d’une enquête des deux côtés, libanais et syrien, « pour empêcher une répétition de ces violations ».
M. Sleiman a en outre demandé aux autorités syriennes de relâcher Mohammad Yassine Merhebi et Mehdi Hamdane, les deux jeunes hommes enlevés mercredi par l’armée syrienne à Abboudieh, en territoire libanais, et conduits de l’autre côté de la frontière. Il a insisté sur « le respect de la souveraineté des deux États qui est dans l’intérêt des deux pays ».
Le chef de l’État a reçu hier à Baabda le directeur de la Sûreté générale, le général Abbas Ibrahim, avec qui il a passé en revue la situation dans le pays au plan de la sécurité. Le général Ibrahim lui a en outre communiqué les informations obtenues au sujet des incidents de sécurité qui s’étaient produits ces derniers jours à la frontière avec la Syrie.
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