Une jeune correspondante de la New TV, Ghida Francis, a
été sauvagement battue par un partisan du Parti syrien national social (PSNS)
alors qu’elle couvrait les élections du parti à Dhour el-Choueir.
L’Agence nationale d’information (ANI) a rapporté que Ghida se trouvait en dehors de l’hôtel où les élections se tenaient lorsqu’elle a été abordée par H.H. qui lui a demandé de partir. Elle a répondu qu’il n’avait pas le droit de la chasser surtout qu’elle se trouvait sur la route. C’est alors qu’il l’a traînée pour l’éloigner avant de lui asséner un coup de poing au visage et de lui donner des coups de pied parce qu’elle lui résistait.
Plusieurs personnes ont tenté de la sauver des griffes du partisan du PSNS et de la protéger, dont son confrère du Akhbar, Firas Choufi, qui a cependant subi le même sort.
L’association Journalistes contre la violence a fait paraître un communiqué dans lequel elle a stigmatisé l’incident et invité les autorités à prendre les sanctions qui s’imposent contre l’agresseur. L’association a aussi attribué les agressions répétées contre des journalistes « à l’environnement favorable créé par le gouvernement du Hezbollah qui tente régulièrement de faire taire les voix libres ».
Le PSNS a également dénoncé cet acte barbare en soirée, soulignant dans un communiqué qu’il « ne correspond pas à la culture du PSNS » « Les libertés, notamment de la presse, sont sacrées », souligne le communiqué qui fait part des excuses du parti à la NTV, avant de démentir les informations selon lesquelles l’agresseur est un des gardes de corps du chef du parti, Assaad Hardane. « Il s’agit d’un confrère de la journaliste et il travaille au quotidien al-Anba’ », selon le texte.
L’Agence nationale d’information (ANI) a rapporté que Ghida se trouvait en dehors de l’hôtel où les élections se tenaient lorsqu’elle a été abordée par H.H. qui lui a demandé de partir. Elle a répondu qu’il n’avait pas le droit de la chasser surtout qu’elle se trouvait sur la route. C’est alors qu’il l’a traînée pour l’éloigner avant de lui asséner un coup de poing au visage et de lui donner des coups de pied parce qu’elle lui résistait.
Plusieurs personnes ont tenté de la sauver des griffes du partisan du PSNS et de la protéger, dont son confrère du Akhbar, Firas Choufi, qui a cependant subi le même sort.
L’association Journalistes contre la violence a fait paraître un communiqué dans lequel elle a stigmatisé l’incident et invité les autorités à prendre les sanctions qui s’imposent contre l’agresseur. L’association a aussi attribué les agressions répétées contre des journalistes « à l’environnement favorable créé par le gouvernement du Hezbollah qui tente régulièrement de faire taire les voix libres ».
Le PSNS a également dénoncé cet acte barbare en soirée, soulignant dans un communiqué qu’il « ne correspond pas à la culture du PSNS » « Les libertés, notamment de la presse, sont sacrées », souligne le communiqué qui fait part des excuses du parti à la NTV, avant de démentir les informations selon lesquelles l’agresseur est un des gardes de corps du chef du parti, Assaad Hardane. « Il s’agit d’un confrère de la journaliste et il travaille au quotidien al-Anba’ », selon le texte.

No comments:
Post a Comment