
Le bloc du Futur a observé hier une minute de silence à la mémoire des victimes de la révolution syrienne. Photo Dalati et Nohra
Si l’ampleur de la répression en Syrie pousse désormais les courants politiques à prendre parti – Michel Aoun a ainsi estimé qu’ « il n’y a pas de répression », tandis que les Kataëb et le courant du Futur ont condamné les crimes commis à Hama – sur le terrain, la tension montre crescendo. Un rassemblement anti-Assad organisé par des jeunes hier soir devant l’ambassade de Syrie, dans le secteur de Hamra, a ainsi été sévèrement réprimé par des partisans syriens et libanais du régime.

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