Dans l’affaire du rapt des pèlerins chiites enlevés dans
la province d’Alep, une nouvelle information est apparue hier, transmise par
l’Association libanaise pour la démocratie et les droits de l’homme, selon
laquelle les ravisseurs garderont cinq des onze chiites en otages en Syrie,
« afin d’enquêter sur la situation de chacun d’entre eux ». Entendre
par cela leur appartenance ou pas au Hezbollah. Ils n’en relâcheront donc que
six, « mais pas de sitôt ».
Par ailleurs, l’association Solide (Soutien aux Libanais en détention et en exil) ainsi que le Centre libanais pour les droits de l’homme ont adressé hier une lettre à l’émissaire des Nations unies et de la Ligue arabe en Syrie, Kofi Annan, et au président du Conseil national syrien, Abdel Basset Sayda. Le document appelle les deux responsables à prendre « une position claire dans l’affaire des onze otages en Syrie, dont l’enlèvement est un crime qualifié contre l’humanité ».
Par ailleurs, l’association Solide (Soutien aux Libanais en détention et en exil) ainsi que le Centre libanais pour les droits de l’homme ont adressé hier une lettre à l’émissaire des Nations unies et de la Ligue arabe en Syrie, Kofi Annan, et au président du Conseil national syrien, Abdel Basset Sayda. Le document appelle les deux responsables à prendre « une position claire dans l’affaire des onze otages en Syrie, dont l’enlèvement est un crime qualifié contre l’humanité ».
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