Le programme de Soutien à la réforme et à la gouvernance
environnementale (StREG), financé à hauteur de huit millions d’euros par
l’Union européenne (UE), a été lancé hier au ministère de l’Environnement, en
présence du ministre Nazem Khoury, de la chef de la Délégation de l’UE Angelina
Eichhorst, du secrétaire général du Conseil des ministres Souheil Bauji, et du
président du Conseil du développement et de la reconstruction (CDR) Nabil
el-Jisr.
Selon l’UE, le programme StREG « vise à améliorer la gouvernance environnementale » et « à créer de véritables capacités au sein du ministère de l’Environnement en matière de planification et de mise en œuvre des politiques environnementales, en particulier concernant leur application et leur mise en place, grâce à une coordination avec les autres ministères de tutelle ».
Les principaux résultats attendus du programme, toujours selon l’UE, sont le renforcement de l’inspection et l’application des règlementations environnementales, l’amélioration des capacités administratives du ministère, la création et le développement d’instruments fiscaux et la promotion de la politique environnementale au Liban.
M. Khoury, pour sa part, a insisté hier sur l’importance de la mise en place d’un tel projet, qui viendra compléter les efforts fournis au niveau du ministère, et qui ont abouti à l’adoption de plusieurs décrets et projets de loi. Il a également fait remarquer que le montant de ce don est supérieur au budget du ministère, et pourrait « contribuer à améliorer sa situation ». Enfin, il a rendu hommage à l’approche participative privilégiée par l’UE dans la préparation de ce programme.
De son côté, Mme Eichhorst a indiqué qu’« avec un soutien de 8 millions d’euros de l’UE, l’objectif du programme StREG est de donner davantage d’élan à l’amélioration de la gouvernance environnementale au Liban ». Elle a exprimé sa conviction « qu’un cadre environnemental légal fort est une condition préalable à un développement durable ». Elle a également mis l’accent sur l’importance de l’amélioration de la gouvernance dans un cadre de dégradation environnementale qui coûte chaque année au Liban « plus de 800 millions d’euros, sans compter le coût de la dégradation des ressources et la perte d’occasions économiques importantes pour le pays ». Elle a cependant souligné l’émergence d’une volonté politique claire de sauver l’environnement au Liban.
Selon l’UE, le programme StREG « vise à améliorer la gouvernance environnementale » et « à créer de véritables capacités au sein du ministère de l’Environnement en matière de planification et de mise en œuvre des politiques environnementales, en particulier concernant leur application et leur mise en place, grâce à une coordination avec les autres ministères de tutelle ».
Les principaux résultats attendus du programme, toujours selon l’UE, sont le renforcement de l’inspection et l’application des règlementations environnementales, l’amélioration des capacités administratives du ministère, la création et le développement d’instruments fiscaux et la promotion de la politique environnementale au Liban.
M. Khoury, pour sa part, a insisté hier sur l’importance de la mise en place d’un tel projet, qui viendra compléter les efforts fournis au niveau du ministère, et qui ont abouti à l’adoption de plusieurs décrets et projets de loi. Il a également fait remarquer que le montant de ce don est supérieur au budget du ministère, et pourrait « contribuer à améliorer sa situation ». Enfin, il a rendu hommage à l’approche participative privilégiée par l’UE dans la préparation de ce programme.
De son côté, Mme Eichhorst a indiqué qu’« avec un soutien de 8 millions d’euros de l’UE, l’objectif du programme StREG est de donner davantage d’élan à l’amélioration de la gouvernance environnementale au Liban ». Elle a exprimé sa conviction « qu’un cadre environnemental légal fort est une condition préalable à un développement durable ». Elle a également mis l’accent sur l’importance de l’amélioration de la gouvernance dans un cadre de dégradation environnementale qui coûte chaque année au Liban « plus de 800 millions d’euros, sans compter le coût de la dégradation des ressources et la perte d’occasions économiques importantes pour le pays ». Elle a cependant souligné l’émergence d’une volonté politique claire de sauver l’environnement au Liban.
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